211 Les manifestations architecturales modernes soulignent une volonté de création à

la fois fonctionnelle et

artistique reposant sur

une

recherche constante de nouvelles techniques, de nouveaux matériaux.

Désireuse de mettre à la disposition des intéressés une documentation complète et de valeur, la Librairie Payot accentue son effort dans ce domaine. Cet automne, elle assurera la diffusion de l’édition française du dernier ouvrage de Martin Mittag, DÉTAILS D’ARCHITECTURE. En outre, on consultera toujours avec intérêt le CATALOGUE PAYOTEC (le numéro double 8-9 vient de paraître) qui consacre plusieurs pages à des nouveautés se rapportant à l’architecture et aux techniques voisines. Son service est gratuit.

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bibliographie

René Berger: Découverte de la peinture La récente multiplication des ouvrages consacrés à la peinture n'est certes pas sans rappeler telle parabole célèbre, et je me demande souvent ce qu’il restera, dans quelques décennies, de ces monceaux de papier et de ces multitudes de reproductions tirées avec le plus grand soin.

Est-ce donc à dire que René Berger a eu tort d'ajouter un volume de plus à la longue théorie de ceux qui se proposent de nous faire aimer un peintre ou la peinture? Pas le moins du monde, à mon gré, car il reprend sur une plus vaste échelle quelques tentatives récentes — Malraux, Marangoni, Lucien Schwob —, et aborde enfin l’œuvre d’art selon une perspective à la fois différente et plus efficace que celle de la monographie — centrée sur l’homme et sur une œuvre — ou de l’histoire de l’art — souvent limitée à la seule évocation chronologique de faits qui n’ont que peu de rapports avec la peinture.

La prolifération évoquée au début de ces lignes aura tout au moins permis de supprimer les frontières qui, naguère, rendaient le dialogue avec l'œuvre d'art impossible ou tout au moins illusoire.

L'homme de ce début du XXe siècle peut, à l’instant où il le désire ou peu s’en faut, exhumer les témoins les plus inaccessibles de la grande aventure humaine,

et confronter entre elles des œuvres jusque-là condamnées à s'ignorer les unes les autres.

Elles se sont ainsi mises à vivre une vie nouvelle. Elles ont entrepris d'assumer, aux yeux de leurs spectateurs, un rôle inédit, indépendant des conditions éthiques, ethniques, chronologiques ou anecdotiques qui ont pourtant présidé à leur élaboration et à leur exécution.

Une nouvelle conception de l’œuvre d'art s’est donc peu à peu dégagée et imposée, qui impose à son tour une nouvelle méthode d’approche et d’investigation. Et René Berger propose justement à son lecteur de l’aborder enfin pour elle-même, en tant qu'œuvre avant tout, organisation et conjugaison de formes, de lignes et de couleurs, définition d’un espace, manipulation de forces et de matières, qui doivent se suffire à elles-mêmes puisqu'elles ont la plupart du temps perdu leurs références avec le prétexte passager sur lequel peut s'être appuyé l'artiste dans la conduite de son travail.

Il évoque et définit ainsi une permanence de la peinture.

Il ne s’agit toutefois pas à proprement parler d’une méthode, d'un recueil de recettes infaillibles permettant de distinguer d’emblée les œuvres valables de celles qui le sont moins, voire même pas du tout — René Berger dispose de trop de bon sens pour s’aventurer aussi loin.

Découverte de la peinture propose surtout, par l'étude systématique de quelques œuvres judicieusement choisies— Vénus et la musique et la Vénus d'Urbin, du Titien; l’Enterrement du comte d'Orgaz, du Greco; l’Eglise d’Auvers, de Van Gogh; le Moulin de la Galette, de Renoir; Guernica, de Picasso —, et plus particulièrement par celle de leur organisation plastique, les moyens d’une approche efficace et les bases d'une discussion particulièrement valable.

Ces études sont en outre progressivement amenées par celles que l’auteur a consacrées aux œuvres les plus diverses, afin d’en préciser les qualités esthétiques

A vrai dire, c'est au cœur du drame que nous plongeons, avant même d’en avoir identifié les personnages. Visages absents, corps inachevés, rien qui renseigne d’emblée; le Christ lui-même est quasi méconnaissable, réduit à quelques taches sous la croix... Mais qui songerait à se plaindre ?

Qui s'aviserait de reprocher à l’artiste d’être incomplet, hâtif ou insuffisant?...

Répudiant toute image représentative, l’artiste ampute à dessein les personnages de la moitié gauche de leur corps ; la partie dro'te, au contraire, se leste d'une ombre doublement épaisse, comme si les soldats, vaincus par leur propre cruauté, cédaient irrésistiblement à leur part de ténèbres.

... Lanières d’encre, vides béants, c’est la sauvagerie même de la soldatesque, la détresse du Sauveur, l'indignation douloureuse de l’artiste qui prennent corps devant nous et en nous par le dynamisme communicatif des traits et des taches...

René Berger ou les travers, et surtout de poser les bases d’une véritable grammaire plastique.

L'art est une connaissance, et c’est à l’éveil plus qu’à l’acquisition de cette connaissance que René Berger prétend apporter son utile contribution. Et, dans cette perspective, je crois qu’il a pleinement atteint le but qu’il s'était fixé, étant bien entendu que son ouvrage demeurera néanmoins comme l’un des essentiels instruments de l'acquisition de cette connaissance.

J'ai parlé tout à l’heure de tentatives antérieures. Je crois donc utile de préciser, afin que ne subsiste nul malentendu, que René Berger va plus loin que Marangoni ou Lucien Schwob, et que sa démarche se distingue très largement de celle d'André Malraux.

Derrière chaque œuvre qu'il aborde, Malraux cherche avant tout le visage de l'homme, et la permanence de l’art tel qu'il l’envisage, c'est tout d'abord celle

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de l'homme, qui ne saurait d’ailleurs faire aucun doute. Pour lui, une œuvre est d’autant plus durable, et par conséquent valable, que l’homme s’y est plus complètement abandonné. Les titres qu'il a adopté — Les Voix du Silence, La Métamorphose des dieux — prouvent assez que, pour lui, l’œuvre d’art est avant tout le protocole des colloques de l'homme avec sa conscience et sa destinée.

René Berger, pour sa part, contrairement à ce que certains ont cru pouvoir affirmer, transporte le débat sur un autre plan.

Il efface volontairement l’homme et n'envisage plus que les conditions plastiques de l’œuvre.

Cette entreprise présente d’ailleurs de grands dangers: possibilité d'étendre l’analyse ainsi conduite aux œuvres les plus imprévues, de démontrer même ce que l'on voudrait réfuter et d’aboutir, en la poussant à l'extrême, à la déshuminasation pure et simple de l'œuvre d’art.

Mais le bon sens et la mesure de René Berger interviennent ici encore et, chaque fois que se précise l’un ou l'autre péril, il sait, sans effort apparent, retrouver avec les raisons fondamentales de son enquête et, mieux encore, avec la vie, un indispensable et fraternel contact.

Transportée sur un autre terrain par ses soins, l'œuvre d’art continue donc, dans Découverte de la peinture, à éveiller les accords et les échos que nous sommes en droit d'attendre d'elle.

Louis Bovey René Berger: Découverte de la peinture (404 pages, 453 illustrations). Guilde du Livre et Editions des Fauconnières, Lausanne, 1958.

«The Work of G. Rietveld, architect » par Théodore Brown Utrecht 1958 - Bruna et Zoon.

« Ne recherchez point si celui-ci est plus saint que cet autre ni quel est le plus grand... Ces investigations produisent

souvent des différends et des contestations inutiles; elles nourrissent l’orgueil et la vaine gloire, d’où naissent des jalousies et des dissensions, lorsque des disputeurs opiniâtres s’efforcent d'obtenir la prééminence, chacun pour le saint de son choix... Plus ils sont élevés dans la gloire plus ils sont humbles en eux-mêmes... » Ces paroles du treizième siècle, dues probablement à cet écrivain mystique Thomas Hemerken de Kempen en Allemagne, me sont revenues à l’esprit en entendant discuter de l’antériorité des œuvres de Rietveld par rapport à celles de tel ou tel autre protagoniste de l'architecture moderne.

Un historien d’art américain, Mr. Brown, à la recherche d’un sujet sur l'art, est conduit à s’intéresser au mouvement de l'art néerlandais, connu sous le nom de «de Stijl », fondé en 1917 par Théo van Doesburg, Oud, van Esteren, Wils etc.

Il découvre ainsi l'œuvre d’un des adeptes les plus fervents, membre de cette association dès 1919, celle de l'architecte Gerrit Thomas Rietveld, né en 1888, et il décide d'en faire l'objet d'une thèse.

Celle-ci est publiée en 1958 sous la forme d’un livre très documenté et fort bien illustré, écrit en anglais.

En France, le groupe « de Stijl » s’était manifesté par la grande exposition de Nancy en 1926 dont je parle, par ailleurs, dans l’article sur Huib Hoste. Le chef de ce groupe, Théo van Doesburg, André Lurçat et moi-même avions passé de longues heures à organiser la section d'architecture internationale. Tout le monde était d’accord sur un fait incontesté, n’en déplaise à ceux qui ont choisi leur «saint»: l'œuvre la plus marquante était une maison construite par Rietveld à Utrecht en 1924, la maison Schroeder.

Alors qu'en France on s'efforçait à s'orienter «vers une architecture», ici le fait architectural s’était accompli tout naturellement à la suite d'efforts conjugués et de recherches lointaines auxquelles Berlage, van t’Hoff et d'autres avaient donné une ampleur particulière.

Après une génération, cette maison est

journellement l’occasion de pèlerinages et de prises de vue. Son intérêt n’a pas fléchi, son état de conservation la fait paraître achevée d'hier. On vient du monde entier pour l’admirer. N’y a-t-il pas des œuvres modernes, construites par des architectes plus réputés que Rietveld et dont les unes sont délabrées à ne pas pouvoir être montrées, les autres dans un tel état de détérioration que leur réfection coûte aussi cher aujourd'hui que la construction alors, à ce point que le nimbe littéraire dont elles sont environnées suffit à peine à les préserver de la déchéance ?

Jamais la probité des architectes ou leur authenticité n’a été mise à pareille épreuve. Il est clair: le succès, l’assentiment général, n’échoient que tardivement aux «purs»; pour récolter rapidement un renom, il faut être quelque peu histrion, entourer l’œuvre de publicité, de littérature, de doctrines philosophiques ou si possible sociologiques. L’architecte et son œuvre existent parfois tout autant en raison du bruit dont on les gratifie qu'en vertu de leurs qualités, car lorsqu'on abandonne les suffrages à la masse, l’authenticité entrave le succès plus qu’elle ne le favorise, du fait que le public est plus ouvert à l’engouement, à la partialité et à la mode qu'il n’est enclin à la pondération, à la réflexion et au discernement.

Or, rien ne répugne autant à Rietveld que la publicité. Son œuvre est originale et probe, résultat d’une élaboration patiente et équilibrée, d'un travail manuel presque autant qu'intellectuel.

Les fifres et les tambours n'ont pas précédé ni annoncé son œuvre, car ce n’est qu’à 70 ans qu'il voit paraître le premier livre sur son immense production.

Dès 1912, il ouvre un atelier pour réaliser ses conceptions nouvelles. L'objet, dit-il, existe surtout par ses éléments visibles, le volume, la forme, la couleur. Il réalise des objets sans utilisation pratique, sans but commercial, avant de s'attaquer à la confection de sièges ou d'ensembles mobiliers. Et c’est ensuite, en 1924, la construction de cette première maison

qui est son chef-d'œuvre. L’influence de Wright y est perceptible, mais il y a un sens inné et très rigoureux de l'agencement orthogonal des éléments constructifs, tels que plaques en béton, montants en profils métalliques, parois de verre.

On ne saurait ici énumérer les œuvres présentées dans la thèse de Th. Brown.

Les plus récentes, d'une qualité tout aussi précise que les plus anciennes, qu'il s'agisse de pavillons d’exposition, de cités d’habitation, de l'académie des beaux-arts d'Arnhem ou du salon de la presse dans le bâtiment de l’UNESCO à Paris, toutes ces œuvres forment un ensemble de réalisations d'une continuité qui dénote bien que Rietveld a su créer son style, le style le plus rigoureux qui soit, doté de toutes les caractéristiques qui garantissentunevaleurdurable.

Tel qu’il parut en 1928 à La Sarraz au congrès international d'architecture moderne dont il est un des fondateurs, tel il est resté lors de sa récente visite à Lausanne, juvénile septuagénaire aux idées nettes, simples et généreuses, aux gestes sans emphase, au parler réservé et sûr.

Un pionnier parmi les architectes de notre temps!

H. Robert Von der Mühll

Publications de l’Union internationale des Architectes (U.I.A.) Diffusion Suisse, Librairie Payot S.A.

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L’architecte et l’urbanisme. L'architecte et l’industrialisation du bâtiment. L'architecte, l'état et la société. Broché Fr. 10.— 2me CONGRÈS U.I.A. - RABAT 1951 Rapport non publié.

3me CONGRÈS U.I.A. - LISBONNE 1953 Rapport final comprenant les rapports des 8 groupes de travail, ainsi que les résolutions du congrès.

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Tome 1/2: Japon, Norvège, Pologne, Roumanie, Suisse, Tchécoslovaquie, U.R.S.S. - Enquête U.I.A.: Même sommaire que le Tome 1/1 - 400 pages, 350 photos, plans.

Tome II: U.R.S.S. - Texte russe, 452 pages, 235 photos, 57 plans, en russe seulement.

PUBLICATIONS DES COMMISSIONS DE TRAVAIL U.I.A. Commission des constructions scolaires.

L’Ecole et ses problèmes.

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Vouga, dans 16 pays, soit Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Italie, Suisse, Grande-Bretagne, France, Suède, Danemark, Yougoslavie, Pologne, U.S.A., Mexique, Japon, Maroc, Tunisie - Lausanne, 1955, 76 pages, 110 photos-plans, 21 x 29,5 cm.

Fr. 6.25 Ce rapport est un examen approfondi du problème des constructions scolaires sous les divers angles de l’urgence des besoins, de l'organisation de l'enseignement, de la pédagogie moderne, de l'urbanisme scolaire, de l’organisation fonctionnelle, de l'esthétique architecturale, des possibilitées de rationalisation et de standardisation.

1er Séminaire d’architecture et de technique hospitalières.

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Tome II: Compte rendu complet des discussions - Texte photocopié, édition bilingue française-anglaise - 100 pages et 60 pages de documentation photographique.

Häuser und Landschaften der Schweiz Richard Weiss Editions Eugen Rentsch.Erlenbach-Zurich et Stuttgart, 1959 364 pages avec 233 cartes, dessins et plans Broché Fr/DM 13.— relié toile Fr/DM 17.80 Cet excellent ouvrage n’ayant malheureusement paru à ce jour qu'en langue allemande, nous préférons donner ciaprès une notice dans la même langue.

(réd.)

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Contact between India and Ceylon, the “ Pearl of the Indian Ocean ", dates back to a remote period, but it was when Buddhism was officially accepted in the island, about 300 B.C., that cultural ties became most closely knit.

As an island, however, Ceylon’s art developed rather independently of the mainland, becoming based almost entirely on religious iconography. Its devotional quality with its classical simplicity rather than the ornate, has been further enhanced by an age-old and unbroken sequence.

To add to this quality, there is the facility with which the local sculptor tackled the hard native stone, even in monumental work, with great success and distinguished technical ability.

The present book is confined to the oldest and best phase, which developed around Anuradhapura where the earliest kings held court until about 1000 A.D.

Anuradhapura Makara and volute on balustrade of shrine near Basavakkulam tank, west of Ruvanveliseya.

Tome II. H.

Zurich 1959.

Girsberger,

éditeur,

Le troisième congrès international d'architecture moderne C.I.A.M. eut lieu à Bruxelles en novembre 1930. Les participants se déplacèrent à Anvers pour visiter les installations du port. Parmi tous ces partisans de l'architecture fonctionnelle et de l’urbanisme nouveau, on en vit deux qui firent bande à part, préférant aller voir, à la cathédrale, la Descente de Croix de Rubens: c’étaient Richard Neutra, récemment installé à Los Angeles, et moi qui, venant de Suisse, avais moins d'attirance pour la marine marchande que pour cette œuvre célèbre.

La bonne entente avec cet architecte viennois n’a jamais été troublée et, comme jadis, nous nous sommes retrouvés ce printemps à Zurich en compagnie de M.

Krafft, directeur de cette revue, lors de la publication du deuxième volume de ses œuvres dont j'assumais la présentation française.

Ceux pour qui l’ingéniosité plastique et l’exécution matérielle sont les conditions indissolubles de l'œuvre d’art, et de l’architecture en particulier, trouveront dans l’œuvre de Neutra une concordance parfaite. Par contre, on assiste à des déclarations emphatiques affirmant la priorité de l’idée sur la réalisation, ou encore à celleci, qu’on applique parfois aux architectes helvétiques, de la minutieuse mise au point de conceptions fragmentaires : cette désinvolture de la pensée met à l'aise les esprits primaires qui, avec des connaissances partielles ou bornées, prétendent décider des questions qui les dépassent; elle offre beaucoup de liberté, permet toute sorte d'essais et d’excès et dispense des règles que réclame l'art. Aussi ceux que séduisent ces théories spécieuses ne se référeront-ils pas volontiers à Neutra. Et pourtant, si ce maître accepte toutes les disciplines de l’invention et de la construction, c’est avec la bonne grâce d’un esprit cultivé qu'il le fait et en se

jouant, apparemment, des difficultés techniques dont il démêle les nœuds par des solutions surprenantes, tantôt élégantes, tantôt rigoureuses, et toujours marquées au coin du génie.

Le second volume, présenté avec beaucoup de soin, montre des croquis, des projets et les réalisations les plus récentes en Californie et dans les régions les plus lointaines de l’Océanie. Neutra semble prédestiné à créer dans les climats lumineux où les volumes clairs se parent de reflets et de teintes transparentes, où les parois de cristal s'ouvrent sur les paysages somptueux tout en laissant pénétrer à l'intérieur l'atmosphère diaphane de ces régions chaudes et brillantes. La clarté des conceptions de Neutra se révèle dans les pertinentes utilisations de l'angle droit qui, par des proportions limpides, module les plans et les élévations. Cette cohésion parfaite entre l’intention et la réalisation est le signe de vues sereines et harmonieuses; aussi les œuvres donnent-elles cette impression rassurante de l’uni, de l'achevé, du fini, de l'indiscutable.

Neutra se règle sur l’être humain, mais non pas sur l'être humain ramené, comme sur un lit de Procruste, à un module, à une commune mesure, car il n'ignore pas qu’il y a des enfants et des adultes plus petits et plus grands — il cherche à se mettre au service de l'homme qu'il considère à la fois comme une entité biologique et comme une essence psychique.

Les grands ensembles créés par Neutra obéissent aux lois fondamentales de l’équilibre urbain qui tendent à procurer aux habitants, en compensation des logements collectifs, de grands espaces libres, des étendues fleuries, des centres d'achat, de récréation et d'éducation.

Quelle que soit la multitude des œuvres réalisées par Neutra, on sent partout une direction inspirée par un grand esprit, exempt de cette incohérence mentale qui trouble tant d'œuvres contemporaines.

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L'ordre grec essai sur le temple dorique François Cali Photographies de Serge Moulinier Les Imaginaires, Collection créée par Claude Arthaud. Un fort volume relié pleine toile, 258 pages dont 90 en héliogravure. Prix: 5000 fr.fr.

Présenter une architecture dans son contexte littéraire, liturgique et mystique avait été le propos du précédent livre de François Cali : « La plus grande Aventure du Monde, Cîteaux ». Le succès de cette nouvelle formule dans l'édition d’art — elle répond au vœu de Valéry: «des images qui parlent et des paroles qui soient des images » — a engagé l'auteur à présenter de la même manière l’architecture par excellence, la grecque.

On verra donc dans ce livre s'opposer et se nouer, symétriques, la Basilique de Paestum et Parménide d’Elée, Héra Argira de Pæstum et Héraclite d’Ephèse, la Concorde d'Agrigente, le Parthénon, le Théséion et Platon ; on entendra retentir sous les grands métiers de pierre des temples les cris d’Eschyle, de Sophocle et d’Euripide. Architectes, philosophes et tragiques du Beau sont ici réunis pour en témoigner et expliquer par leur présence cet « ordre grec » des choses qui sut mettre l'homme en proportion avec le monde.

Cet ordre, dont le temple dorique fut le plus vigoureux symbole, éclata avec saint Paul, fut transfiguré par l’Evangile de saint Jean. François Cali, dans son introduction, raconte comment gnostiques, poètes et illuminés cherchèrent en vain à le retrouver, tandis qu’archéologues et historiens essayaient d’en reconstituer les proportions et les rites.

Des notes et des tables à la fin du volume tentent de faire le bilan de ces recherches et de minuter, chiffres en main, cet instant de perfection — il ne durera pas cinquante ans — que fut en Occident le temple dorique.

Au cours de ses trois voyages en Grèce, en Campanie et en Sicile, Serge Moulinier s'est appliqué à choisir dans ces ruines l’heure privilégiée qui permettait d'en faire revivre le plus exactement la beauté. Du lever au coucher du soleil on verra, grâce à lui, le temple grec s'animer, les colonnes, d’heure en heure, s'épanouir, toujours semblables et toujours différentes, sous une lumière en délire.

Typographie et héliogravures s’équilibrent pour donner à cet ouvrage une perfection graphique à laquelle le Cabinet des Poinçons de l'Imprimerie Nationale a contribué pour les caractères d'inscription du siècle de Périclès, gravés en 1840 par Marcellin Legrand.

Industries atomiques Revue internationale pour les applications de l'énergie nucléaire No. 5-6. 1959.

Editions de la Grande Batelière S.àr.I., 10, rue Chauchat, Paris IXe. — Editions René Kister, 33, quai Wilson, Genève Suisse.

Editorial, André Chavanne, rédacteur en chef.

Perspectives industrielles de la chimie sous rayonnement, Jean René Puig, attaché au Service de chimiephysique du CEA.

Radioactivité et âge de la terre, René Coppens, professeur de radiogéologie à la faculté des sciences de Nancy.

La production des radioisotopes en Belgique, René Constant, chef de la section des radioisotopes au CEN de Charleroi.

Etude de la diffusion isotrope des neutrons, P. Latore et J.P. Millot, ingénieurs au CEN de Fontenay-auxRoses.

Tour d'horizon sur les développements nucléaires en Suisse, Jacqueline Juillard-Feyler, Ingénieur-chimiste S.I.A., membre du comité de l’Association suisse pour l’énergie atomique.

Les centrales atomiques EDF-1 et EDF-2 de Chinon (2e partie), Francis Gérard.

Sources radioactives « lonotron » pour l'élimination de l’électricité statique et la construction d’appareils de mesure (suite et fin), C.G. Invernizzi, président de l’US Radium Corporation (Europe) Genève.

La protection des voies respiratoires, André-Charles Gruget, ingénieur E.S.E., directeur technique de la société La Spirotechnique.

Bilan de la conférence de Stresa de l’Agence européenne pour l'énergie nucléaire, Francis Gérard.

Actualités atomiques, Caractéristiques techniques des Centrales de Chinon (Francis Gérard). La première Centrale nucléaire d’Ecosse à Chapelcross (Jacqueline Juillard). Le Japon achète une centale nucléaire à la Grande-Bretagne (Jacqueline Juillard).

Dictionnaire nucléaire (lettre E), Jean Combe, Physicien au CERN, Genève.

Revue des revues, Combustible pour réacteurs à haute température Nouvelles du CEA : Bilan des deux premières années du plan atomique 1957-1961 (suite et fin).

Bibliographie On nous communique...

Nouvelles brèves

GEBERIT chasse silencieuse!

L'Année automobile Pour la sixième fois, « L'Année automobile » présente en 230 pages abondamment illustrées les événements essentiels qui ont marqué le monde de l’automobile en 1958.

Dans cette dernière livraison, on trouve les caractéristiques techniques de toutes les voitures de production et non plus seulement celles des modèles qui virent le jour dans le courant de l'année. Des grandes photographies permettent de comparer les nouveautés les plus intéressantes de la production européenne, américaine, soviétique et même chinoise.

Dans un article sur les études qui ont été faites par le. groupe de recherches Cornell, on apprend qu’aux U.S.A., 38 000 personnes décèdent chaque année à la suite d’accidents de voiture, mais on nous explique aussi comment on s'efforce d’atténuer les effets de ces accidents en améliorant les voitures et les routes.

En quelques pages richement illustrées, on peut suivre l’histoire de Mercédès, la plus ancienne fabrique d’automobiles en activité et celle qui a participé le plus régulièrement aux compétitions.

Le chapitre réservé au sport automobile est une suite de photographies en couleurs et en noir des plus grands pilotes en action au volant des voitures les plus perfectionnées. Un journaliste italien, qui a suivi les courses pendant 40 ans, montre combien il est difficile de comparer les pilotes actuels avec ceux de l'époque héroïque qui conduisaient pendant 800 km. ou plus des mastodontes pétaradants et rétifs sur des routes dont nous avons perdu jusqu’au souvenir.

Le président de la section automobile de l'Auto-moto club central de l'U.R.S.S.

nous apporte quelques lumières sur le sport automobile soviétique qui est en plein développement et il nous fait espérer que nous verrons bientôt coureurs et voitures russes sur lescircuitseuropéens.

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L'industrie suisse du ciment Numéro spécial du «Journal de la Construction de la Suisse Romande » Le « Journal de la Construction de la Suisse Romande », qui, à raison de deux numéros par mois, présente à ses lecteurs les innombrables problèmes que pose la construction en Suisse et au-delà de nos frontières, vient de publier un imposant opuscule consacré à « L’industrie suisse du ciment ».

Tous les aspects de la fabrication et de l’utilisation du ciment se trouvent évoqués, sous des plumes autorisées. Et ce numéro spécial de 176 pages constitue un volumineux documentaire, une source de renseignements de premier ordre.

Il s’ouvre par une « Visite à une fabrique de ciment», par Jean-Pierre Masmejan, qui décrit les divers processus de la cimenterie. Cet article est suivi d’une série de documents photographiques, tous évocateurs. Cl. Lasserre place ensuite « L'industrie suisse du ciment dans le cadre de l'économie nationale»; il montre notamment que la consommation du ciment en Suisse a atteint, en 1957, 485 kg. par habitant, soit un total de 2 500 000 tonnes, représentant un train de 1644 km., composé de wagons de 15 tonnes, sur la distance Zurich-lstamboul.

W.-G. Peter décrit la distribution du ciment et le commerce des matériaux de construction, tandis que Werner Humm énumère les diverses sortes de ciments fabriqués dans notre pays. Jean Wiswald initie le lecteur aux « Ciments spéciaux résistant aux eaux gypseuses ».

Un autre aspect intéressant de l’industrie du ciment en Suisse concerne les « Essais et recherches », article signé Peter Lenzin. Hans Eichenberger se livre à un historique de cette importante industrie.

Après la description des diverses usines de chaux et ciment que compte notre pays, Walter Thut passe en revue les multiples utilisations de cet important matériau et d’excellentes photos rappellent certains ouvrages et bâtiments où le ciment a joué un rôle essentiel.

Un spécialiste en la matière, André Vittoz, présente ensuite « la route en

béton » et les problèmes que celle-ci pose aux techniciens. Enfin, H. Vuilleumier énumère les divers aspects de la future autoroute Genève-Lausanne, accompagnant son documentaire d’interviews du plus haut intérêt.

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tendance se place entre les deux écoles qui se disputent la priorité de la nouvelle architecture américaine: celle de Frank Lloyd Wright et celle de Mies van der Rohe, présente une ample vision de ses œuvres récentes.

Sous ses aspects esthétiques, sociaux et économiques, Jules Langsner examine les caractéristiques de l’architecture « officielle » aux Etats-Unis qui a été mise en valeur par Edward Stone et Minoru Yamasaki.

Une conversation sur le « Brutalisme » (nouveau mouvement qui a déjà trouvé des émules fervents), l’analyse du stade de Ronald Rainer qui vient d’être élevé à Vienne (Autriche) et un panorama international de jeunes architectes documentent la situation actuelle de la construction.

A.S.

« Art actuel international »

Zodiac 4. 1959 Revue internationale d’architecture contemporaine. Milan Cet intéressant numéro de la grande revue italienne publiée par les soins des Editions de « Comunità » s'ouvre sur une note rédactionnelle soulignant la nécessité de fonder un Musée Universel de l’Architecture Moderne. Dans un excellent article, Giulia Veronesi parle de la dangereuse aventure que Leonardo Ricci est en train de faire courir, dans une certaine mesure, à l’architecture méditerranéenne. Renato Borelli, de son côté, traite le grave problème de l'état actuel de la critique de l’architecture dans le monde. Eero Saarinen, dont la

Depuis une année paraît sous cette dénomination un journal pour l'art nonfiguratif, un journal pour l'art d'avantgarde. Ce périodique, qui paraît dix fois par an pour un prix très modique, est édité à Lausanne sous la direction de M. Georges J. Kasper, qui en est également rédacteur en chef. « Art actuel » présente dans chaque numéro un aperçu de la vie artistique dans les divers pays, permettant ainsi de connaître et de suivre le développement des recherches actuelles. La collaboration d’éminents critiques d’art, d'artistes, donne à ce journal international une valeur réelle de documentation et d'information artistique.

Il est très apprécié des amateurs d'art, collectionneurs, artistes, musées, et d'une façon générale par tous les amis de l'art de ce temps.

Des études biographiques sont assurées par les plus grands noms de la critique.

Chaque numéro contient de nombreuses reproductions d'œuvres et un soin particulier est mis à la présentation. « Art actuel » est diffusé aujourd’hui dans de nombreux pays européens et d’OutreMer.

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Revue Internationale d'Amiante-Ci ment Editions Girsberger, Zurich La Revue Internationale d’AmianteCiment, AC, paraît quatre fois par an, au prix d’abonnement annuel de Fr. 12.—.

Tous les textes sont en trois langues, français, anglais et allemand, excepté l’article introductoire qui est seulement en français dans l’édition française, anglais dans l’édition anglaise et allemand dans l’édition allemande.

La Revue est vouée tout particulièrement à l’application de l'amiante-ciment dans l'architecture moderne. Retenons, au sommaire du dernier numéro AC 14, une étude sur l’évolution de l’amiante-ciment, différentes réalisations en Angleterre, en Suède, en France, en Autriche, en Italie, en Allemagne, en Belgique et en Suisse.

Toutes ces œuvres, dont l’utilisation de l'amiante-ciment est la base, sont illustrées par de nombreuses photos et détails de construction. Cette revue est particulièrement bien mise en page dans une typographie soignée.

K.

expositions et galeries

Exposition Beris-DiserensKuenzi Après le brillant succès remporté à Paris, en février 1958, à la Galerie de l’Odèon où il fut présenté par Silvagni et Frank Jotterand, ce sympathique et homogène trio de créateurs (dont fait partie André Kuenzi, notre distingué collaborateur) exposera à Milan, en septembre 1959, à la Galleria del Disegno. A cette occasion paraîtra un catalogue illustré préfacé par Alberto Sartoris et publié par les soins de la SICPA.

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La Galerie Kasper à Lausanne Au 4 de la rue de la Paix, à Lausanne, a été créée en septembre dernier, une nouvelle galerie pour l’art d’aujourd’hui, pour l'art non-figuratif, grâce à l’initiative de M. Georges J. Kasper, ex-conservateur technique au Musée National Suisse et directeur de la galerie BeauxArts à Zurich. Cette galerie s'est ouverte par une exposition d’importance, le « Prix Suisse de Peinture Abstraite », et après quelques mois d’une intense activité, la galerie connaît une renommée internationale très appréciable. Une suite ininterrompue d’expositions de qualité a marqué la première saison de cette nouvelle galerie, et le public honore avec plaisir de sa présence les vernissages et les expositions. En octobre prochain aura lieu le second « Prix Suisse de Peinture Abstraite », avec une forte participation internationale. Des artistes espagnols, français, italiens, suisses, allemands, belges, hollandais, canadiens, chinois, etc. s’affronteront dans une lutte pacifique pour l’obtention de la Médaille d’or et des deux Médaillles d’argent. La galerie vient de décider le même concours pour la sculpture abstraite, sous le titre « Prix Suisse de Sculpture Abstraite». Incontestablement Lausanne a le droit de revendiquer la troisième place dans le classement des villes suisses pour la compréhension de l’art non-figuratif, après Bâle et Zurich, ceci facilité par sa position géographique privilégiée sur l’axe Paris-Milan, les deux capitales de l'art abstrait aujourd’hui en Europe.

L’Age néo-classique en Lombardie (juillet-octobre 1959)

Dans le palais historique de l'Olmo, à Corne (Italie), a lieu l’importante exposition de l’art néo-classique en Lombardie, la première du genre.

Outre des sculptures, terres cuites, peintures, fresques, dessins, scénographies, objets, tapisseries, meubles, livres et bijoux, elle offre une collection unique d'œuvres, de projets, de perspectives et de maquettes des plus grands architectes néo-classiques tels que Quarenghi, Pistocchi, Pollak, Piermarini, Gilardi, Canonica, Cagnola et Antolini. On remarque également le plan régulateur et d'extension de la ville de Milan, conçu en 1807. Bien qu’il ne fût pas exécuté, il constitue cependant le plan d’urbanisme le plus génial de tout le XIXe siècle.

A.S.

Galerie Bridel à Lausanne La Galerie Maurice Bridel, avenue du Théâtre 1 à Lausanne, ouverte en mai 1958, organise régulièrement des expositions d’artistes de toutes tendances.

Elle a présenté en collaboration avec l'OEV une série d’expositions de peintures, sculptures et céramiques de membres de ce groupement. On a pu aussi y voir un important ensemble de l'œuvre gravé de Miro, la première exposition mondiale de Forcoles vénitiennes, des artistes français et suisses.

En 1960, plusieurs expositions seront consacrées à des peintres parmi les plus représentatifs de Paris.

Dans ses cartons, on peut toujours trouver un beau choix de gravures originales d'artistes du XXe siècle parmi les plus célèbres,

XIIe Triennale de Milan (16 juillet - 4 novembre 1960)

La prochaine «Triennale» affrontera deux problèmes concrets et fondamentaux : celui de la maison et celui de l'école. A ces deux thèmes qui seront traités sous leurs différents aspects politiques, sociaux, culturels et économiques, s'ajouteront une exposition comparative de productions en verre et en acier, une exposition rétrospective d'assiettes et de couverts, des expositions personnelles d’architecture et des concours-]

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L’installation de chronométrage Longines à la patinoire de Genève: un chef-d’œuvre de technique et de précision

(voir reportage page 150) Depuis la fin novembre la ville de Genève dispose de deux patinoires artificielles, une en plein-air, l’autre couverte, toutes les deux dans le quartier des Vernets, la deuxième étant un véritable Palais de glace moderne qui servira surtout aux rencontres de hockey-sur-glace, aux exhibitions et concours de patinage artistique, aux grandes tournois de curling, etc.

Le hockey-sur-glace, sport viril, rapide et passionnant par excellence devient de plus en plus populaire, mais le jeu est tellement rapide que pour pouvoir le suivre aisément, le public a besoin de renseignements, surtout à l'aide d’un chronométrage parfait. On en a eu la la preuve lors du tournoi international d'inauguration, qui a vu, au cours de quatre rencontres, 41 buts marqués et qui a littéralement emballé les quelque 20 000 spectateurs présents.

La fabrique des montres Longines, qui s’est spécialisée dans le chronométrage sportif — très apprécié également à l'étranger — a doté la patinoire couverte de Genève d’une installation de conception nouvelle qui a suscité l’admiration générale.

Un match de hockey-sur-glace dure trois fois vingt minutes de jeu effectif, c'està-dire que les interruptions du jeu n’y sont pas comprises à tel point qu'un

L’étanchéité absolue

tiers-temps dure souvent presque une demi-heure. Chaque match est dirigé par deux arbitres, assistés de deux juges de goals, d’un chronométreur et d'un ou plusieurs secrétaires, mais il est évident que les arbitres — à l'encontre de ce qui se fait en football — ne peuvent pas s’occuper du chronométrage, vu la rapidité du jeu et la nécessité de suivre attentivement son déroulement et le comportement des joueurs.

Comment est fait dès lors le chronométrage? Un immense cadran de sept mètres de largeur et de cinq de hauteur est placé sur une paroi du Palais, ayant au centre une horloge de trois mètres de diamètre qui indique le temps effectif du jeu. Cette horloge dispose de deux aiguilles, une, plus grande, rouge et l’autre, plus petite, noire, la première indiquant les secondes, la deuxième les minutes, c'est-à-dire les vingt minutes de durée effective d'un tiers-temps.

Dès que le début du match est sifflé, le chronométreur met en marche l’horloge et il l'arrête à chaque Interruption de jeu, de façon à ce qu'il indique exactement le déroulement du match. Dès que les vingt minutes de jeu effectif sont écoulées, l’horloge s’arrête de soi, en indiquant par des signaux lumineux et acoustiques la fin d’un tiers-temps.

Aux côtés du cadran central il y en a deux autres plus petits — un pour chaque équipe — destinés à indiquer la durée des expulsions. En effet, les joueurs commettant des fouis peuvent être expulsés pour un temps déterminé par la gravité de la faute commise. Or, comme il peut se produire que deux joueurs d’une même équipe soient expulsés soit ensemble, soit à quelques instants l’un de l’autre, les cadrans installés par LONGINES à Genève, doubles, chacun étant réparti en trois secteurs de deux minutes et avec une indication spéciale pour les cinq minutes, une punition de cette durée étant également possible. Des signaux lumineux sont allumés au terme des deux ou des cinq minutes et sur le cadran se trouvent deux aiguilles indépendantes l’une de l’autre. L’aiguille rouge concerne

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