Die Architektur in England René Elvin Die Tatsache, daß die Architektur in England leidenschaftliche Auseinandersetzungen erregt, ist ein gutes Zeichen und deutet auf das Interesse hin, das die Engländer für ihr künstlerisches Erbe haben. Zwei der Anlässe, die sie kürzlich erregt haben, sind : einmal der Vorplatz der Kathedrale des Heiligen Paulus : man protestiert, allzu verspätet, gegen den Plan Sir William Holfords, der bereits vor fünf Jahren angenommen wurde und der nach festem Entschluß eine Einfriedung vorsieht, durch die zu Teilen die Ansicht der klassischen Fassade verdeckt wird. Die zweite Diskussion betrifft die gewünschte Vergrößerung des Palasts von Westminster, Sitz des Parlaments: eine Kommision desselben hat den Bau eines neuen Flügels vorgeschlagen, in genauer Kopie des gothischen Stils, den Charles Berry seinerseits dem Mittelalter ententnommen hatte. Dieses Mal sind es die jungen Architekten, die protestiert haben, so heftig, daß die Verwirklichung des Projekts zweifelhaft scheint.

Man baut entschlossen in England. Das Zentrum von Birmingham, verwüstet durch die Bombardierungen des Krieges, wurde vollständig wieder aufgebaut nach den Gesamtplänen des Architekten Sydney Greenwood und der Bull Ring Centre genannte Komplex hat den Verkehrsproblemen in besonderer Weise Aufmerksamkeit geschenkt.

Die Ausweitung der höheren Studien hat zum Bau ganzer Universitäten geführt, die den Architekten mehr rühmliche als einträgliche Aufgaben stellen. Das ist insbesondere der Fall für die Universität der Grafschaft Sussex, nahe Brighton, entworfen von Sir Basil Spence : für das College Churchill in Cambridge, das Richard Sheppard, Hobson & Partners entworfen haben und für das College St. Catherine in Oxford, das gegenwärtig Professor Arne Jacobsen errichtet.

Architecture in England René Elvin That architecture should still cause passionate controversies in England is surely a good sign and a token of the interest taken by thoughtful Britons in their artistic heritage. One of the subjects that have given rise to these discussions is the precinct in front of St Paul's Cathedral, which, in agreement with the design of Sir William Holford prepared some five years ago, masks part of the view of Sir Christopher Wren's celebrated façade as seen from Ludgate Hill. The other row concerns the enlargement of the Palace of Westminster, housing the British Parliament. A committee of the House of Commons recently proposed unanimously to build a completely new wing in the Gothic style adopted by the architect Charles Barry. The protests of the younger generation of designers have been so emphatic that the implementation of the project now appears doubtful.

Building in Britain goes on apace. Thus, the centre of Birmingham, devastated by the war bombardments, has now been reconstructed after the designs of Sydney Greenfield, and the whole project, known as the Bull Ring Centre, embodies much thought and care in solving the difficult traffic problems.

The steady expansion of higher studies in Britain has led to the construction of whole universities, an exceptionally rewarding task for architects. The latest examples include Sussex University, near Brighton, designed by Sir Basil Spence ; Churchill College at Cambridge, designed by Richard Sheppard, Hobson & Partners; and, last not least, St. Catherine College at Oxford, designed by Professor Arne Jacobsen.

L'architettura in Inghilterra René Elvin L'architettura suscita in Inghilterra controversie appassionate. È buon segno, poiché denota l’interesse degli Inglesi per il loro patrimonio artistico. Un oggetto di discussione è il piazzale della cattedrale di San Paolo : si protesta troppo tardivamente contro il progetto di Sir William Holford, accettato cinquantanni fà, che prevede deliberatamente una stecconata che nasconderà parte della vista sulla classica facciata di Sir Christopher Wren. Un'altra discussione concerne l'ingrandimento del palazzo di Westminster, sede del Parlamento : una commissione ha proposto la costruzione di un'ala supplementare, copia esatta dello stile gotico che Charles Barry aveva poi imprestato al Medio Evo. Qui sono i giovani architetti che protestano con un vigore tale che la realizzazione del progretto sembra dubbia.

Si costruisce assai in Inghilterra. Il centro di Birmingham, devastato dai bombardamenti, è stato completamente riedificato secondo i piani dell'architetto Sydney Greenwood e il complesso chiamato Bull Ring Centre dà importanza particolare ai problemi del traffico.

Lo sviluppo degli alti studi ha reso necessaria la costruzione di università intere, compiti, per gli architetti, più gloriosi che lucrativi. Citiamo l’università del Sussex, presso Brighton, di Sir Basil Spence ; il collegio Churchill a Cambridge di Richard Sheppard e Hobson & Partners ; il collegio Santa Caterina a Oxford, costruito attualmente dal Prof. Arne Jacobsen.

L’architecture en Angleterre René Elvin

Il est bon, Il est juste, Il est salutaire que des controverses aient lieu au sujet de l'architecture, le plus public et l'un des plus permanents de tous les arts: après tout, personne n’est contraint d'aller au théâtre, au concert ou dans les musées, alors que nul ne peut échapper au spectacle quotidien des bâtiments qui forment nos rues etplaces et le cadre même de notre existence. Si ces édifices sont beaux et harmonieux, ils contribuent dans une certaine mesure à la beauté et à l'harmonie de l'existence de chacun d'entre nous. S'ils sont laids et désagréables à voir, c’est une note déplaisante qu'ils ajoutent chaque jour à notre vie.

On ne saurait donc que se féliciter de deux controverses qui ont, ces derniers mois, ému les esprits en Angleterre et ce, dans des milieux beaucoup plus étendus que les professionnels ou amateurs d’architecture, ce qui, naturellement, a donné aux discussions plus de chaleur que de lumière. La première avait trait au parvis de la cathédrale de Saint-Paul, la seconde à l’agrandissement envisagé du palais de Westminster, siège du Parlement britannique.

On sait que les bombardements aériens qui durant la guerre détruisirent une grande partie de la City londonienne avaient laissé à peu près intacte la cathédrale de SaintPaul, chef-d'œuvre du grand architecte anglais Sir Christopher Wren (à l’exception d'une bombe qui perça le toit du transept, aujourd'hui heureusement réparé). La dévastation des alentours de la célèbre église, alors que celle-ci était épargnée, sembla tenir du miracle pour beaucoup d’Anglais demeurés foncièrement religieux, et, par reconnaissance, on résolut de donner au magnifique édifice des environs dignes de lui. Ce n'était pas la première fois qu'un tel projet était envisagé: Wren lui-même avait dessiné un plan d'urbanisme qui, s'il avait été mis à exécution, eût non seulement mis en valeur la splendide basilique, mais encore assuré pour des siècles la facilité de la circulation sur son pourtour. Hélas !

les intérêts mesquins et à courte vue des mercantis propriétaires des terrains attenants prévalurent, et aujourd’hui les embouteillages dans le périmètre de la City coûtent des millions à leurs descendants.

On s'adressa pour l’élaboration des nouveaux plans à l'un des plus éminents parmi les urbanistes anglais contemporains, Sir William Holford, lui laissant le soin de déterminer comment concilier l’esthétique et l'utilité. Ces plans furent dûment approuvés partoutes les autorités compétentes, y compris celles de la cathédrale, de la ville et de l'Etat, ainsi que par la commission des beaux-arts. Ils prévoyaient un vaste parvis réservé aux seuls piétons et déterminé par un hémicycle d'immeubles d'une hauteur strictement limitée. Ceci se passait il y a quelque cinq ans, et personne ne souffla mot contre cette conception, qui répondait aux conceptions modernes de l'urbanisme et créait devant l’église une grande place où l'on aurait pu se promener à loisir et peut-être donner des spectacles semireligieux, ainsi que cela se faisait au Moyen Age, pratique renouvelée avec succès à Salzbourg et à Berne.

Après les retards d'usage, les immeubles prévus commencèrent à s'élever, et quelqu'un s'aperçut alors que l'un d’eux obstruerait en partie la vue de la façade de la cathédrale du bas de la colline dite Ludgate Hill où elle est située. Et c’est là que commença une campagne de presse contre cette construction, dans laquelle certains voyaient l'abomination de la désolation. Dans le feu de la polémique, ses adversaires oublièrent (ou firent semblant d’oublier) que cette vue était déjà barrée par un hideux viaduc de chemin de fer érigé au siècle dernier. On exalta, non sans raison, les lignes pures et sobres de lafaçade et la grâce de la coupole, à double tambour, qui rappelle le Panthéon (construit par Soufflot à son imitation) et dont la masse, rendue presque aérienne grâce à l'emploi d'une colonnade autour du tambour de base. Mais cette perspective ne pouvait être observée par le spectateurqu'au péril de sa vie, ou gêné par le mouvement intense de la circulation.

Toutefois, et bien que cette controverse n'ait eu finalement aucun résultat pratique — car le bâtiment incriminé continue à être érigé —, elle avait démontré que le public anglais sait se passionner pour un chefd’œuvre architectural. Par contre, une nouvelle discussion, qui vient d'être déclenchée au sujet d'un agrandissement du Palais de Westminster, tire davantage àconséquence.

Elle constitue, en effet, une nouvelle édition de la vieille querelle des anciens et des modernes, et son issue pourrait être décisive pour l’avenir immédiat de l'architecture en Angleterre.

Le Palais de Westminster, qui élève son majestueux ensemble néo-gothique en bordure de la Tamise et comprend la Chambre des Lords et la Chambre des Communes, a été construit de 1840 à 1850 d’après les

plans d'Edward Barry sur l'emplacement d'un ancien palais royal en partie détruit par un incendie en 1834, dont il incorpore quelques restes, notamment le Westminster Hall fondé par le fils de Guillaume le Conquérant. C'est assez dire qu'il représente une bonne partie de l'histoire anglaise et que rien de ce qui le touche ne saurait être indifférent à la nation.

Or, un comité de laChambre des Communes vient de décider à l'unanimité que les dimensions du Palais n'étant plus suffisantes, il était urgent de l'agrandir, et que cet agrandissement devrait prendre la forme d'une aile nouvelle construite exactement d'après le style et les modules du palais, c'est-à-dire en imitation de ce qui était déjà une imitation.

Cette fois, cefutdu monde des jeunes architectes que vint la levée de boucliers contre cette proposition saugrenue. Ils ne mettaient pas en cause le grand talent de Charles Barry et de son confrère Auguste Pugin (auteur des détails gothiques et de l'aménagement intérieur). Mais ces architectes œuvraient suivant une conception valable à l'époque et complètement désavouée aujourd'hui, à savoir que seul le style gothique était compatible avec une nation chrétienne pour les grands édifices civils et religieux.

De fait, tant d'églises, d'hôtels de ville et de gares furent alors érigés en gothique bâtard qu’il devint quelque chose comme le style de l’ère victorienne.

Notre époque, par contre, a définitivement renoncé à l'imitation servile de styles périmés et a cherché non sans succès d'en élaborer un qui soit fonction de ses besoins et du progrès de ses techniques. Il serait désastreux, surtout pour un édifice représentatif entre tous, de renier l'apport de l'art moderne en architecture.

Il est encore trop tôt pour savoir si ces arguments persuaderont le Parlement qui, suivant la vieille formule, peut tout faire, sinon un garçon d'une fille et vice-versa; aujourd’hui, il tente de faire reculer d'un siècle l'histoire architecturale. Nous saurons bientôt s'il y réussira.

En attendant, on construit ferme en Angleterre. L’un des plus grands projets réalisés au cours des derniers mois a été le «Bull Ring Centre» à Birmingham, vaste complexe couvrant un hectare au centre même de cette ville industrielle et commerciale. Les plans en ont été dressés par l'architecte Sydney Greenwood, en association avec T.J. Hirst.

Construit sur l'emplacement d’une ancienne foire aux bestiaux (d'où son nom), il comporte des grands magasins, plusieurs marchés et un grand nombre de boutiques plus petites groupées autour d'une cour, un vaste bâtiment pour le parcage des voitures, des restaurants, salles de banquets et bars, le tout dominé par un bloc sans grand caractère, mais imposant par ses dimensions.

De même, les autres façades, simples de lignes, correspondent à la fonction des divers bâtiments, et les voies d'accès et de

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dégagement correspondent parfaitement aux nécessités de la circulation. On peut regretter l'absence voulue de la belle ordonnance symétrique axée autour d'un point visuel central qu'auraient sans doute préférée les urbanistes d'antan. Mais, telle qu'elle est, ce n'en est pas moins une réalisation remarquable.

Une autre grande réalisation en voie d'achèvement est celle de l’université du Sussex, près de Brighton, conçue par Sir Basil Spence, l’architecte de la cathédrale de Coventry décrite dans le volume précédent d'Architecture formes + fonctions. Il s'est laissé guider dans sa conception par l'agora athénienne autant que par la tradition des collèges des anciennes universités anglaises. Deux bâtiments essentiels, Falmer House et l'école de physique, sont déjà terminés. Ils sont groupés autour de cours intérieures qui leur donnent l’air et l’espace, et la forme des voûtes n'est pas sans rappeler les voussures du Colisée romain.

On retrouve des cintres assez similaires dans une autre vaste entreprise universitaire, la construction du Churchill College à Cambridge par le groupe John Mowlem & Co d'après les plans des architectes Richard Sheppard, Robson & Partner; les bâtiments, d’apparence solide et trapue, évoquent l'art patient et durable des anciens Romains, ce qui, pour un édifice appelé à traverser les siècles, paraît fort approprié.

A Cambridge également, on va bientôt commencer la construction d'un Centre universitaire d'après les plans des architectes Howell, Killick, Partridge & Amis, qui sera destiné aux réunions du corps enseignant et des étudiants licenciés. Ici, une simplicité toute géométrique a été adoptée pour le bâtiment, construit en béton précontraint recouvert de pierre meulière de Portland.

Dans le domaine de l'éducation sportive, notons également l'érection par le Conseil municipal de Londres de ce qui doit devenir le plus grand centre d’entraînement en Angleterre, sur l’emplacement du célèbre Crystal Palace, ce précurseur de l'architecture normalisée. Il comportera, avec les terrains et aménagements pour tous les sports, une tour pour le logement des athlètes et les bureaux administratifs.

Malgré tous les efforts des bâtisseurs, le problème de l'habitation demeure, aggravé par l'augmentation de la population et aussi par sa prospérité croissante, impliquant des besoins de confort accrus. Un moyen d'y satisfaire est la méthode de pré-construction industrielle dite «Modulow», créée par la maison Lowton-Cubitt, qui permet d'assembler la structure de deux maisons en un seul jour et de les terminer complètement en trois semaines. La méthode est susceptible d'un très grand nombre de variantes par l'emploi de revêtements et de toitures conformes aux usages locaux, et les maisons, qui peuvent être détachées, en paires ou en longues rangées, peuvent être érigées avec

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- PROPOSED NEW BUILDING

PRESENT BUILDING

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un minimum de main-d'œuvre spécialisée.

Enfin, à Oxford, le magistral collège SainteCatherine, conçu par le professeur Arne Jacobsen, est maintenant en grande partie terminé. Il s'inscrit admirablement, de par son élégante et toute classique simplicité, dans le cadre admirable formé parles anciens bâtiments qui constituent cette antique université. Comme à son habitude, le maître danois a tenu à cœur de dessiner non seulement l'immeuble, mais encore les jardins, le mobilier, voire même l’argenterie du collège. Le tout constitue l’un de ses chefsd'œuvre.

Dans le domaine de la construction industrielle proprement dite, notons l'exemplaire bâtiment du bassin de Sainte-Catherine (Saint Katharine Dock House), construite pour l'Autorité du Port de Londres d'après les plans d'Andrew Renton & Associates.

Cette structure utilitaire présente par son élégante fenestration une façade harmonieuse qui ne serait pas déplaçée au port de Venise, tandis que l'aménagement intérieur très étudié offre d'excellentes conditions de travail aux employés.

Projet de Barry pour le nouveau Palais de Westminster, publié en 1855 Entwurf des neuen Westminsterpalastes von Barry, veröffentlicht im Jahre 1855 Barry's design for the new Palace of Westminster, published in 1855 (Courtesy The Times).

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Vue actuelle du Big Ben et du Palais de Westminster Jetzige Ansicht des Big Ben und des Westminsterpalastes Big Ben and the Palace of Westminster as existing

3 La Cathédrale de St. Paul, Londres Kathedrale von St. Paul, London St. Paul’s Cathedral London

Pour compléter ces trop brèves indications, ajoutons que ceux qu'intéresse l’architecture anglaise liront avec autant de fruit que de plaisir l’ouvrage de Frank Hoar, An Introduction to English Architecture (Evans, 35s): l’auteur est non seulement un architecte éminent, mais encore un écrivain et dessinateur de grand talent, en même temps qu'un connaisseur très averti de l'histoire de son art; son style aisé, l'agrément de ses croquis et l’excellente présentation du volume en font un excellent livre de référence.

Les visiteurs se rendant à Londres et curieux de se renseigner sur les réalisations de l’agglomération métropolitaine en matière d'architecture moderne, trouveront un guide très utile dans le petit volume illustré « New Architecture of London », compilé avec soin par Sam Lambert et publié par la British Travel & Holidays Association.

L'imitation étant la forme la plus sincère de la flatterie, adressons enfin un salut confraternel à« World Architecture One », publication anglaise dirigée par John Donat (Studio Books, 80s.), annoncée comme devant être publiée annuellement. Le premier volume comprend 400 photos, plans et dessins de cinquante des bâtiments jugés les plus intéressants dans 22 pays, parmi lesquels le Centre des Arts, construit à l'Université de Harvard par Le Corbusier; l'immeuble Bacardi à Mexico, dû à Mies van der Rohe; le centre culturel de Wolfsburg, créé par Alvar Aalto ; les laboratoires de recherches médicales de l’Université de Philadelphie, par Louis Kahn; l’Hôtel de ville de Kurashiki, par Kenzo Tange, etc.

Quelques-unes des meilleures contributions sont dues aux architectes eux-mêmes.

René Elvin

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Architect: Sydney Greenfield, associate T.J. Hirst

Centre commercial Bull Ring, Birmingham.

Vue générale et garage à niveaux multiples Einkaufszentrum Bull Ring, Birmingham.

Hauptansicht und Blick auf die mehrstöckige Garage The Bull Ring Shopping Centre, Birmingham.

General view and view of the multi-storey car park

Architect: Sir Basil Spence

Université du Sussex. 1964 Universität von Sussex. 1964 University of Sussex. 1964

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Architects: Architect’s Dept. London County Council

Centre sportif à l’emplacement du Crystal Palace.

Projet Modell eines Sportzentrums an Stelle des CrystalPalastes Project for a sports centre on the site of the Crystal Palace

Photos: London County Council, British Travel & Holidays Association, John Laing & Son Ltd, Henk Snoek

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Architects: Andrew Renton & Associates

Bâtiment portuaire Ste Catherine, Port de Londres.

Projet Plan des Schiffsdockbaues St. Katherine, Londoner Hafen Project for the St. Katherine Dock House, Port of London Authority

Maison préfabriquée “ Modulow ”, système Lowten Cubitt Vorfabriziertes Haus « Modulow », System Lowten Cubitt Modular prefabricated house, Lowten-Cubitt System

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