Historische Denkmäler in der UdSSR Ein Gesamtblick auf die historische Entwicklung der Architektur in der UdSSR verlangt sowohl Zeit als auch beinahe die Gabe der Allgegenwart, da sich dieses schöne Land über weite Strecken hin ausdehnt. An der Schwarzmeerküste wurden die Spuren zahlreicher griechischer und römischer Städte (Kherson, Olvie, Kertsch, usw.) ausgegraben. Im Kaukasus sind zahlreiche Denkmäler erhalten, während unter der brennenden Sonne der zentralasiatischen Republiken (Turkmenistan, Kasachstan, usw.) die Buntheit einer aus mohammedanischer Kultur geborenen, mühsam ausgearbeiteten Architektur erstrahlt.

Schlösser, Kirchen und Städte Litauens, Lettlands und Estlands haben uns den originalen Geschmack der Kunst dieser Völker erhalten. Die antiken Bauten der slawischen Rassen Rußlands, der Ukraine und Bielorußlands finden in der Weltarchitektur nicht ihresgleichen. Das 10. Jahrhundert hat hier den Beginn des Mauerbaus gesetzt, der seine Berühmtheit durch die an einem so intensiven Volksgeist reichen Werke erlangte, daß sie in der Weltgeschichte eine vollkommen autonome russische Schule bilden. Um die alten Bauwerke zu erhalten, hat sich die russische Regierung ihrer Wiederherstellung gewidmet und die berühmtesten in Museen umgewandelt. Ein typisches Beispiel für diese Sorge um die Erhaltung berühmter Zeugen der Vergangenheit ist — neben dem bewundernswerten Kreml mit seiner zackigen Silhouette, den bunten Dächern, seinem Kupfer und Gold, die das Ergebnis eines Stilspieles sind, bei dem sich das Monumentale (Schule von Nowgorod und Pskow), die Eleganz und die Ausgewogenheit vereinigt haben, um zur Vollkommenheit zu gelangen — die kürzlich als Freilichtmuseum angelegte Insel Kiji, auf der die seltensten Muster der Holzarchitektur vereinigt wurden : Kirchen und Zwiebeltürme, Häuser, Windmühlen und Brücken.

Historic monuments in the U.S.S.R.

A brief survey of the historical development of architecture in the U.S.S.R. is extremely difficult due to the vastness of the country. The sites of many Roman and Greek cities have been uncovered on the shores of the Black Sea (Kherson, Olvie, Kertch, etc.). Many monuments have been preserved in Caucasia, while the Central Asian republics of Turkmenistan, Kazakstan, etc., are enriched by a richly detailed and coloured architecture of Moslem origin. Latvia, Estonia, and Lithuania have contributed their original art in their churches, castles and towns, and the Slavonic races of Russia and the Ukraine, etc., have left an architecture unequalled elsewhere. The first stone buildings date from the 10 th. century and are so rich in spiritual content that they represent the foundation of a distinct Russian school.

The Russian government has undertaken the restoration of many ancient monuments and the conversion of the best of them into museums. Apart from the restoration of kremlins, with their exciting skyline of multicoloured roofs in copper and gold resulting from a variety of styles, where the monumentality (Novgorod and Pskov school), elegance and equilibrium unite to attain perfection, the island of Kiji has been turned into an open air museum displaying the rarest examples of architecture in wooden churches, onion-domed towers, houses, windmills and bridges.

Monumenti storici nell’URSS Occorre tempo e pazienza per esaminare lo sviluppo storico dell'architettura russa, date le distanze enormi. Il Mar Nero ha vestigia di città greche e romane (Kherson, Olvie, Kertch, ecc.), il Caucaso numerosi monumenti e le repubbliche dell’Asia Centrale (Turkmenistan, Kazakstan, ecc.) resti di un'architettura policroma e lavorata, nata dalla civiltà musulmana. I castelli, le chiese e le città della Lituania, della Lettonia e dell'Estonia ci hanno trasmesso il sapore originale dell’arte di questi popoli. Le antiche costruzioni delle razze slave di Russia, Ucraina e Bielorussia sono poi di valore inestimabile per l'architettura mondiale, dato che è proprio laggiù che la costruzione in mattoni ha cominciato nel secolo X.

Il governo sovietico si è preoccupato del restauro dei vecchi monumenti, i più famosi dei quali sono stati trasformati in musei. Ve ne sono a Novgorod e a Pskov (cremlini policromi, con rame e oro), mentre l'isola di Kiji è stata recentemente trasformata in museo a cielo aperto, dove sono raggruppati gli esempi più rari dell'architettura in legno: chiese, campanili a bulbo, case, mulini a vento e ponti.

Monumentos históricos en URSS Se necesita tiempo y paciencia para examinar el desarrollo histórico de la arquitectura rusa, dadas las distancias enormes. En el Mar Negro existen vestigios de ciudades griegas y romanas (Kherson, Olvie, Kertch, etc.), en el Caucaso numerosos monumentos y en las repüblicas del Asia Central (Turkmenistan, Kazakstan, etc.) restos de una arquitectura policroma y elaborada, nacida de la civilización musulmana. Los Castillos, las iglesias y las ciudades de Lituania, de Letonia y de Estonia han conservado el sabor originai del arte de estos pueblos. Las antiguas construcciones de las razas eslavas de Rusia, Ucrania y Bielorusia son pues de valor inestimable para la arquitectura mundial, ya que es justamente ahi donde la construcción en albanileria comenzó en el siglo X.

El gobierno sovietico se ha preocupado de la restauración de los monumentos antiguos, los mas famosos de los cuales han sido transformados en museos. Estos se encuentran en Novgorod y en Pskov (kremlins policromos, con cobre y oro), en tanto que la isla de Kiji ha sido transformada recientemente en museo a cielo abierto, donde han sido agrupados los especimenes mâs raros de la arquitectura en madera : iglesias, campanarios en forma de bulbo, casas, molinos de viento y puentes.

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Monuments historiques en URSS Vladimir Ivanov

Un coup d'œil d'ensemble sur le développement historique de l’architecture en URSS demanderait beaucoup de temps mais encore faudrait-il sillonner ce beau pays sur des distances considérables.

Les vestiges d'un grand nombre de cités grecques et romaines, ruinées parles tribus qui traversaient les steppes méridionales de la Russie à l’aube de la civilisation européenne, sont encore visibles sur la côte de la Mer Noire. Souvent oubliées, elles sont exhumées par les archéologues et deviennent l’objet d’une étude minutieuse permettant de percer bien des énigmes historiques. C’est le cas de Kherson, d'OIvie, de Kertch, etc...

Le Caucase (notamment la Géorgie et l'Arménie) a conservé de nombreux monuments.

Un vaste foyer de civilisation musulmane, dont l’architecture enchante l'œil par ses entrelacs et sa polychromie, apparut sous le soleil brûlant des républiques d'Asie centrale: Ouzbékistan, Turkménistan, Kazakhstan, etc... La période qui va du IXe au XVe siècle est particulièrement impressionnante.

Les châteaux, églises et cités de Lituanie, de Lettonie et d'Estonie nous ont conservé la saveur particulière de l'art de ces peuples.

Enfin, les antiques constructions des peuples slaves de Russie, d'Ukraine et de Biélorussie n'ont pas leur analogue dans l'architecture mondiale. Le Xe siècle marqua ici le début d'une architecture de maçonnerie.

Ayant rapidement pris des forces, elle sut donner des œuvres émotionnelles douées d'un esprit populaire si puissant qu'elles forment dans l’histoire mondiale une école russe totalement autonome.

Un court article ne saurait suffire pour parler de tous les prestigieux ensembles que nous venons d'énumérer. Nous nous bornerons donc à relever les pages les plus intéressantes de l’histoire de la vieille architecture russe, et des monuments qu’elle nous a légués, de leur restauration et de la façon dont ils servent aujourd’hui.

Au lendemain de la Révolution d'Octobre, les palais des tsars, les domaines des nobles, les monastères et les églises furent remis à la gestion d'organes d'Etat spécialement créés à cet effet. Les plus fameux furent transformés en musées.

C’est ce qui s’est passé pour la Laure de la Trinité (aujourd'hui Zagorsk), le monastère de la Résurrection (aujourd'hui Istra) ; le monastère de Savvino (aujourd’hui Zvénigorod, région de Moscou) ; ce fut également le sort des cathédrales du Kremlin, de l'église Saint-Basile, des monastères Novodévitchi, Donskoï et Saint-Andronique, des hôtels d’Arkhangelskoïé, de Kouskovo et d’Ostankino à Moscou, des palais d'Hiver et de Marbre de Léningrad, des résidences des tsars non loin de Léningrad et ailleurs.

Des centres scientifiques créés de toute pièce purent procéder à l'étude du patrimoine national sans être gênés par les barrières de la propriété privée ou de la religion.

L'aide de l'Etat se fit rapidement sentir et la science s’enrichit de découvertes d’une importance exceptionnelle tant dans le domaine de la peinture ancienne quedans celui del'architecture. Desfouilles permirent de mettre au jour les fondations d’édifices détruits au début du XIIIe siècle, lors des funestes incursions

tartares en Russie. Décapages de murs, déblayage d'adjonctions récentes, et études complètes permirent de reconstituer la véritable histoire de l’architecture russe.

La Russie des XIe-XIIe siècles se divisait en principautés féodales autonomes telles que les principautés de Kiev, de Tchernigov, de Riazan, de Smolensk, de Vladimir, de Novgorod, de Galicie.

Chacune possédait son école caractérisée par des techniques, des tours de construction et un style propres. Le style de l'école de Novgorod et Pskov, par exemple, prend un relief extraordinaire avec son sens exceptionnel du monumental, ses vastes pans de mur lisses, parcimonieusement percés de profondes meurtrières et portes d'accès. La sévère majesté de cette architecture venaitd'une composition entièrement axée sur l'envolée des coupoles, du soin apporté à la partie haute traitée soit sous forme de couverture ondoyante épousant les demiarcs des voûtes, soiten pans réguliers venant former un curieux clocher pyramidal.

Cette architecture devait évoluer jusqu'à la fin du XVe siècle, donnant une floraison de chefs-d'œuvre à Novgorod, à Pskov, à Staraya Ladoga, dans maintes villes et villages.

La principauté de Vladimir (la ville se trouve à 180 km de Moscou) connut un

destin peu ordinaire. Ayant commencé son développement politique bien après Kiev et Novgorod, elle sut rapidement gagner un rôle prépondérant dans le nord-est slave.

Le XIIe siècle y vit une véritable éclosion d'édifices en maçonnerie. Moins grandioses qu’à Kiev ou à Novgorod, ils s’en distinguaient par le fait qu’ils mettaient en œuvre, au lieu de la brique, de la pierre naturelle ou des moellons, du calcaire soigneusementtaillé ne donnant presque pas de joints visibles.

Les édifices du culte, de taille assez réduite, avec une coupole unique, affectaient des proportions élancées pleines d'élégance. Registres à colonnettes, portail à fausse perspective, prolifération d'éléments sculptés, telles étaient les particularités de l'école de Vladimir.

Cette floraison fut brutalement stoppée par l'invasion tartare de l’an 1237. Ce n’est qu'un siècle plus tard, cette fois-là sur le territoire de Moscou assumant la mission de rassembler les terres russes pour mettre fin au joug tartare, que mûrissent des conditions amenant une renaissance des traditions nationales.

A ses tout premiers pas l'école moscovite se tourne vers l'architecture de Vladimir des XIle-XIIIe siècles.

Prenant peu à peu des forces, perfectionnant sans cesse leurs techniques,

n’hésitant pas à lorgner l’expérience des voisins, les maîtres-d'œuvre russes de la fin du XVe siècle créent le prestigieux ensemble du Kremlin de Moscou, qui restera pour longtemps un exemple que l’on imite, dont on s'inspire mais qu’on admire invariablement.

Les kremlins russes juchés d'ordinaire sur une haute rive formaient le centre de la cité. Leur enceinte abritait la résidence des autorités temporelles et spirituelles, les institutions et les organes du gouvernement, tandis qu'à l’heure du danger elle devenait le nerf de la défense de toute la ville. L'architecture reflète parfaitement cette particularité. Un collier de tours enfilées sur la muraille servait d'écrin à la dominante principale, représentée par un groupe d’églises et de cathédrales à coupoles diverses. Si l'on ajoute les clochers, l'ensemble donnait une silhouette ajourée du plus merveilleux effet. Quand, au XVIIe siècle, les tours et les murs n'eurent plus ce rôle vital pour les cités et furent remplacés par des fortifications de terre, on continua de les élever mais en les terminant désormais par des toits pointus d'un effet purement décoratif. La silhouette des kremlins devient encore plus pittoresque tandis que les tuiles polychromes (le plus souvent traitées dans des tons verts et dorés), le cuivre rapporté d’or,

les planchettes sculptées des clochers et des bulbes achèventl'impression exceptionnellement avenante de l'ensemble.

Moscou, Gorki, Kazan, Astrakhan, Smolensk et Kolomna perpétuent jusqu'à présent une image très complète de l'art exceptionnel des architectes russes de cette époque.

Mais là où les kremlins ne se sont pas conservés du moins nous reste-t-il les monastères. Le clergé russe, à cette époque tout-puissant, ne restait pas à la traîne des grands du monde temporel.

Même jusqu’au début du XVIIIe siècle les résidences des métropolites et les monastères continuent à être flanqués de puissantes murailles et de tours. Les plus prestigieux ensembles qui nous sont parvenus se trouvent à Zagorsk (la fameuse Laure de la Trinitéi Sant-Serge), à Rostov-le-Grand (région de Yaroslavl), à Kirillov (région de Vologda), à Tériaév (près de Volokolamsk, région de Moscou), dans les îles de la Mer Blanche (monastère de Solovetsk), etc., etc. Tous ils possèdent leur charme particulier et s'inscrivent magistralement dans leur site.

A l'aube du XVIIIe siècle l’économie et la culture de l’Etat russe connaissent de profonds bouleversements faisant surgir de nouvelles idées plastiques, donnant naissance à de nouveaux goûts. Les variantes russes des courants artistiques

universels que furent le baroque et le classicisme s’expriment avec magnificence dans l'architecture de Léningrad, la cité sur la Néva fondée dans les premières années du XVIIIe siècle qui porte aujourd’hui le nom de Lénine. Ces styles se manifestèrent brillamment dans l'architecture des hôtels de la noblesse, où les colonnades immaculées, les tonnelles de parc font un mariage inattendu avec la beauté mélancolique des bouleaux russes.

Mais l'architecture russe se targue d’une autre orientation aujourd'hui presque complètement disparue en Europe. Il s'agit de l'architecture en bois qui donna le jour à d'innombrables églises, places fortes, demeures et bâtisses utilitaires de la campagne. Dans un pays forestier par excellence, cette architecture-là se mit à briller de mille feux.

Le long des fleuves septentrionaux, majestueux et paisibles, au bord des lacs d’azur, dans les plaines de l'Ukraine ou sur les contreforts des Carpates se dressent des chefs-d'œuvre de charpenterie, églises et clochers, demeures, moulins à vent, ponts. A la vue de cette exubérance de la fantaisie humaine, de cette inégalable habileté à exprimer le beau, chacun de nous sent ressusciter en lui des royaumes fabuleux. Voici l'un d’eux, parmi les plus célèbres, poussé

sur l'une des innombrables îles du vaste lac d’Onéga. Il s’appelle Kiji. Une des églises, composée de cellules de rondins, l’une octogonale et quatre autres rectangulaires, s'achève en un jeu gracieux de toitures qui vont en s'amenuisant et sont couronnées par des bulbes.

On en compte 22; ils jouent une étonnante symphonie de formes et de lignes. A l'heure où le soleil se couche et où tout se teinte de douces tonalités pastel, le spectacle est féerique. La seconde église et ses neuf bulbes, flanquée d'un clocher, forment avec elle un ensemble inoubliable.

L'île de Kiji est depuis peu aménagée en musée à ciel ouvert. Afin de mieux sauvegarder ces monuments irremplaçables de l’architecture en bois, on y a transféré d'autres régions une chapelle du XIVe siècle, des églises du XVIIe siècle, des habitations avec tous leurs communs, des moulins à eau et à vent.

Le plus grand soin est apporté à la conservation de ces monuments en bois, matériau particulièrement exposé aux atteintes du temps. Les monuments historiques où la cote d'alerte est atteinte sont transférés dans des réserves. Un musée de ce genre existe également à Kostroma, d'autres sont actuellement aménagés à Arkhangelsk, à Souzdal.

Il est vrai que l'on peut miser désormais

sur les moyens de protection offerts par la chimie, qui permettent de sauvegarder le monument sur les lieux mêmes de son histoire. Car aussi excellente que soit l’idée d'un musée à ciel ouvert, celui-ci ne saurait évidemment remplacer le site naturel de l’édifice.

Tout ceci pour dire qu'actuellement les monuments historiques de l’URSS sont l’objet d'un vaste travail de restauration.

Il y a plusieurs raisons à cela. Pendant la guerre de 1941-1945, par exemple, un grand nombre d'entre eux furent détruit.

On sait que Novgorod, Pskov, Smolensk, les palais de Léningrad, et beaucoup d'autres, dans les régions rurales, subirent d'effroyables dommages. A l’heure actuelle les travaux de restauration tirent à leur fin. Mais ils ont nécessité un effort colossal. Les méthodes mises

au point par les experts soviétiques, la qualité des restaurations, sont dignes de tous les éloges.

Beaucoup de monuments historiques sont restaurés selon des méthodes purement scientifiques, de manière à rétablir l'aspect initial qu’ils ont pu perdre pour raison d’incurie ou à cause de remaniements divers (recherche de confort ou nouveaux goûts). Ces travaux intéressent surtout la période qui s’étend entre les XIe et XVIe siècles. On ne saurait trop admirer les résultats obtenus entre 1954 et 1960 à Rostov-Yaroslavski, où l’on a relevé des édifices qu'un ouragan avait sérieusement malmenés.

Tout le patrimoine artistique étant la propriété de l'Etat, le financement des travaux de restauration est également à sa charge. Des ateliers de restauration

spéciaux groupent des architectes, des historiens d'art, des ingénieurs et autres experts qui disposent d'entreprises du bâtiment spéciales.

Toute leur activité est coordonnée par le Ministère de la Culture et son Conseil scientifique. Parallèlement aux organes d'Etat, il existe dans toutes les républiques des sociétés d’initiative pour la défense des monuments historiques et des œuvres d’art. Elles apportent un grand concours à l'étude, à la sauvegarde et à la diffusion des monuments, suggèrent de passionnants itinéraires touristiques, guident le choix des monuments à protéger, etc... Ce contact avec l'architecture russe apporte à chacun des instants de plaisir esthétique inoubliables.

Vladimir Ivanov

Vladimir Ivanov est Président de la Comission des Monuments historiques près l’Union des Architectes de l’URSS, Directeur-adjoint des Musées du Kremlin de Moscou et Viceprésident de l’ICOMOS (Commission de Sauvegarde et de restauration des monuments historiques près l’UNESCO).

1

Cathédrale St Basile, Moscou 2

Pskov, le Kremlin. Xll-XVIèmes siècles 3 Novgorod. Cathédrale Ste Sophie. 1045-1050 4 Rostov-le-Grand, région de Yaroslav. Eglise de St Jean l'Evangéliste, 1683

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5 Vladimir, Eglise de la Chasuble de la Vierge, 1165 6

Village de Kolomenskoié. Eglise de l’Ascension, 1532 (située dans l'ancienne résidence d'été des tsars à Moscou) 7 Ile de Kiji. Les églises de bois de laTransfiguration et de la Chasuble

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