Peter Abel

Aspects psychologiques et sociologiques des recherches sur l’environnement

Psychologische und soziologische Aspekte bei der Umweltgestaltung

Psychological and Sociological Aspects of Environmental Research

Dans mes réponses, je me limiterai aux questions ayant trait aux aspects psychologiques et sociologiques des recherches sur l'environnement. J’emprunte mes réponses à un séminaire où, au cours du dernier semestre d’hiver, nous avons débattu de ce problème. Aux éléments principaux qui cernent ce dernier, sociologie, utopies provocantes à la recherche de formes urbaines nouvelles, position de la femme et de l’enfant dans l’architecture moderne, je voudrais également ajouter une question supplémentaire, à savoir l'intégration des personnes âgées dans notre société. En effet, nous croyons qu’il vaut la peine de prévoir pour celles-ci des lieux de résidence dignes de respect.

Bei der Beantwortung werde ich mich auf die Fragen beschränken, die sich mit den psychologischen und soziologischen Aspekten bei der Umweltgestaltung auseinandersetzen.

Ich nehme meine Antworten aus einem Seminar, in dem wir im letzten Wintersemester diese Problematik erörtert haben.

Dieser Komplex wird etwa von den Fragen nach dem Beitrag von Soziologie, den provokativen Utopien für neue urbane Wohnformen und der Stellung von Frau und Kindern in der modernen Architektur Umrissen; speziell möchte ich noch eine weitere Problematik hinzusetzen, und zwar die der Unterbringung des alten Menschen in unserer Gesellschaft. Wir glauben nämlich, dass sich die Anstrengung lohnt, für ihn würdige Altenheimstätten zu planen.

I will limit my reply to the questions on the psychological and sociological aspects of environmental research. I have taken much of this article from a seminar last winter term during which this problem was discussed. / would also like to add one question to the topics of this seminar (sociology, utopias leading to the research of new urban forms, the position of women and children in modern architecture)— that of the integration of the elderly into society. We believe that it is expedient to plan residential homes for the elderly which are worthy of respect.

Dans la littérature sociologique et, ici, dans le cas particulier de celle ayant trait à l’architecture, la nature des relations entre cette dernière et la sociologie est traitée le plus souvent en quelques phrases: «On se jette tout de suite sur le problème de la sociologie en tant que science appliquée» (Schmidt-Relenberg).

Deux questions se posent alors: que peut attendre l’architecte de la sociologie et quelles sont les difficultés de communication entre les deux disciplines? Bornonsnous ici à évoquer combien ces difficultés sont importantes. De prime abord, ce sont des obstacles de compréhension entre l’architecte qui «pense» en général avec un crayon et le sociologue qui utilise essentiellement un langage scientifique précis. Pourtant, une collaboration prolongée à la solution de cas particuliers viendrait à bout de ces obstacles. Un facteur beaucoup plus problématique est celui de la conscience du problème chez les architectes mêmes. Il en est qui croient que, pour conserver une vue d’ensemble devant la pléthore d’informations de détail livrées par la science, il faut simplifier tout et partout. En ce qui nous concerne, nous attendons de la sociologie un modèle social fondamental (Leitbild) et en liaison avec celui-ci des prévisions à long terme. De nos jours, le sociologue ne peut

In der soziologischen Literatur, und hier im speziellen Fall der «Architektur»-bezogenen Literatur, wird die Kommunikationssituation zwischen Architektur und Soziologie mit meist nur einigen wenigen Sätzen abgehandelt, «. . . man wirft sich sofort auf die Problematik der Soziologie als Hilfswissenschaft» ...

(Schmidt-Relenberg).

Es bilden sich zunächst zwei Probleme: die Erwartungshaltung des Architekten im Hinblick auf die Soziologie und die Schwierigkeiten der Kommunikation zwischen beiden Disziplinen.

Wie gross die Schwierigkeiten sind, sei hier nur angedeutet. Sie liegen zuallererst in den Verständigungsschwierigkeiten zwischen dem Architekten, der eben in der Regel mit dem Bleistift denkt, und dem Soziologen, der sich im wesentlichen einer wissenschaftlich präzisen Sprache bedient. Doch wäre diese Schwierigkeit über den Weg längerer Teamarbeit an einzelnen konkreten Aufgaben zu lösen.

Weit schwieriger und schwerwiegender ist der Faktor des «Problembewusstseins» bei den Architekten selbst, gibt es doch Architekten, die glauben, dass die Wissenschaft eine solche Fülle von Einzelinformationen liefert, «dass er allenthalben weglassen und vereinfachen muss, um einen Überblick zu erhalten».

In sociological literature and, as here, literature on architecture, the nature of the relationship between the latter and sociology is more often than not dealt with in a few sentences, *. . . the problem of sociology is attacked as an applied science’. . . (Schmidt-Relenberg). Two questions arise: what can the architect expect from sociology and what are the difficulties of communication between the two disciplines? Let us limit ourselves here to discussing how important these difficulties are. Firstly there exists an obstacle from the point of view of comprehension between the architect, who generally thinks with a pencil, and the sociologist, who essentially uses a language which is scientific and precise.

Collaboration until the achievement of a solution would however overcome this obstacle. An already old problematical factor is the awareness in the minds of architects themselves that the problem exists. There are people who believe that to maintain an overall view of the plethora of detailed information provided by science, it is enough to simplify everything, everywhere. For our part we expect that sociology will provide a basic social model (Leitbild) and in connection with the latter, a long-term forecast. The sociologist can no longer complain that 1

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plus se plaindre de n’être pas demandé; il se voit même surchargé! On attend de lui qu’il livre des réponses définitives, voire même des recettes. Certes, les sociologues disposent de toute une série de prévisions établies scientifiquement en ce qui concerne par exemple les aspects vitaux de notre destinée, mais celles-ci ne peuvent être appliquées qu’à des périodes limitées et à des cas particuliers. «Le rythme des progrès de la société n'est pas coordonné à celui des progrès scientifiques et techniques» (H. P. Bahrdt). Mitscherlich parle d’utopies révélatrices, mais il distingue nettement entre utopies-refuges qui indiquent une défense contre des conflits sociaux et utopies constructives qui ont pour fondement un environnement reconstitué et adapté à la nature et aux desseins de la vie humaine. Psychologues et sociologues ne peuvent prévoir les besoins futurs des humains ou de la société qu’avec beaucoup de prudence et nombre de restrictions. La tâche de l’architecte sera de libérer ces besoins intrinsèques et, pour ce faire, il se limitera en général à créer les conditions d’environnement propices au déroulement d’un processus social dont la direction générale et l’importance sont déterminées. On combattra la résignation de l’architecte en lui montrant combien, en matière d’urbanisme, la volonté qui concentre toutes les forces spirituelles et créatrices est primordiale. L’encouragement à la discorde de Mitscherlich (Die Unwirtlichkeit unserer Städte) est un combat mené sur le plan psychologique contre cette attitude négative des architectes. Il est typique que, pour Mitscherlich, si les urbanistes reçoivent trop peu d’impulsions créatrices, la faute en revient à la sociologie d’empiristes laborieux et abrutis. Plus encore, le sociologue peut lutter pour la suppression des tabous, comme par exemple la politique du sol, objet de spéculation de premier ordre.

Dans leur ouvrage Grund und Boden Bohnsack et Hillebrecht ont apporté une contribution positive dans ce domaine.

Ils ne proposent pas de recettes nouvelles mais s’efforcent d’aménager des bases déjà existantes. Dans le détail, cela signifie que, dans notre organisation sociale, la liberté individuelle et l’encouragement à la propriété sont inséparables.

Spéculer sur le sol, en revanche, est en contradiction flagrante avec le droit social à la propriété ancré dans nos lois

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Eine andere Aufgabe betrifft die Erwartungshaltung des Architekten im Hinblick auf die Soziologie. Hoffen wir doch, von der Soziologie ein grundlegendes Gesellschaftsbild (Leitbild) und im Zusammenhang damit langfristige Prognosen zu erhalten.

Der Soziologe kann sich heute nicht mehr beklagen, dass er nicht gefragt wird, viel eher sieht er sich überfordert: man erwartet von ihm, dass er fertige Antworten, wohl gar Rezepte liefert.

Es gibt zwar eine ganze Reihe wissenschaftlich abgesicherter Prognosen der Soziologen, was zum Beispiel die vitalen Aspekte des Daseins betrifft, jedoch können diese nur für begrenzte Zeiträume und auch nur für Teilgebiete aufgestellt werden.

Das Tempo gesellschaftlicher Fortschritte ist nicht koordiniert mit dem Tempo wissenschaftlicher und technischer Fortschritte. (H. P. Bahrdt.) Mitscherlich spricht von Utopien als Indikatoren, macht aber einen wesentlichen Unterschied zwischen Fluchtutopien, die als Abwehr gegen gesellschaftliche Konflikte gedeutet werden, und den konstruktiven Utopien, die eine wiederhergestellte Umwelt, die der Natur und den Zielen des menschlichen Lebewesens angepasst ist, zur Grundhaltung haben. Psychologe und Soziologe können mit grösster Vorsicht und mit vielen Einschränkungen zukünftige Bedürfnisse des Menschen oder der Gesellschaft Voraussagen.

Der Architekt muss seine Aufgabe im Befreien dieser angelegten Bedürfnisse sehen, er wird sich in der Regel darauf zu beschränken haben, dass soziale Prozesse, deren allgemeine Richtung und Ausmass vorgegeben sind, unter geeigneten Umweltbedingungen ablaufen.

Die Resignation des Architekten ist zu bekämpfen, indem man auf die unabdingbare Funktion der Intensionen im Städtebau hinweist, d. h. die Anspannung aller geistigen und schöpferischen Kräfte im Städtebau.

Mitscherlichs «Anstiftung zum Unfrieden» (die Unwirtlichkeit unserer Städte) ist ein von der psychologischen Seite geführter Kampf gegen diese negative Haltung des Architekten. Typischerweise gibt Mitscherlich der Soziologie der stumpfen und emsigen Empiriker die Schuld, dass der Städtebauer zu wenig gestalterische ImpuIseauslöst.WeiterhinkannderSozio-

he is not in demand, but rather overworked! We expect definite replies from him, recipes even. Certainly sociologists have a whole series of scientifically established forecasts on, for example, the vital aspects of our destiny, but they can only be applied to limited periods and to very special cases. Society’s rhythm of progress is not coordinated to that of scientific and technical advance (H. P.

Bahrdt).

Mitscherlich refers to utopias which reveal but he distinguishes clearly between refuge utopias which indicate a defence against social conflicts, and constructive utopias with foundations based on an environment which has been reconstituted and adapted to the nature and designs of human life. Psychologists and sociologists cannot foresee the future needs of man or society unless with great prudence and many restrictions. The task of the architect will be to free these intrinsic needs and in order to do this he will limit himself on the whole to creating environmental conditions which favour the unfurling of a social process whose general direction and importance are already determined. We will fight against the architect’s resignation by showing him how primordial, in urbanism, is the will which concentrates all spiritual and creative forces. The encouragement given to the Mitscherlich dissension (‘Die Unwirtlichkeit unserer Städte') is a fight on the psychological plane against this negative attitude of the architect. It is only typical of Mitscherlich that the urbanist receives too few creative impulses, the fault lies with the sociology of painstaking and idiotic empiricists. Furthermore, the sociologist can fight for the suppression of tabus, for example land policy, a first-class source of speculation. In their work 'Grund und Boden’ Bohnsack and Hillebrecht supply a positive contribution to this problem. They give no new recipe but try to use the base which exists already. In detail this means that within the organization of society, individual liberty and the encouragement to own are inseparable. Land speculation on the contrary is a flagrant contradiction of the social right of property at the root of constitutional law. It is therefore right that the legislature takes measures to eliminate land speculation. The solution of the land problem is at the starting point

constitutionnelles. Il est donc légitime que le législateur prenne les mesures tendant à éliminer la spéculation sur le sol. La solution du problème foncier est le point de départ de toute tâche urbanistique. Par ses efforts, la communauté confère sa valeur aux terrains à bâtir. De ces deniers, cette même communauté subventionne des constructions à loyers élevés. L’accroissement des prix du sol est la cause d’une spirale loyers-prix-salaires sans issue. Des loyers chers conduisent en outre à la réduction des surfaces habitables, c’est-à-dire de la famille.

Un impôt sur la valeur du sol ainsi qu’un organisme de réserve foncière peuvent constituer la solution pour obtenir des terrains à bâtir bon marché au moment et à l’endroit favorables. La sociologie est donc en droit de nous inviter à nous doter de conditions d’environnement adéquates «... afin que la ville que notre génération érige devienne un monde profitable en équilibre avec les besoins de l’homme contemporain et cependant propice à toutes les métamorphoses» (H. P. Bahrdt). Une coopération sensée est-elle vraiment possible entre architecte et sociologue ou sociopsychologue? Nous pensons qu’elle devrait être tentée sur un objet particulier. A partir de là pourrait peut-être se dégager une généralisation systématique. L’ensemble de Heidelberg-Emmertsgrund constitue une tentative dans ce sens. Entre l’activité planificatrice de l’architecte et ce que sait le psychologue quant à l’influençabilité des structures sociales, on a essayé de tirer une relation plus directe. Nous pouvons maintenant sans longue transition passer au problème de la place de la femme et de l’enfant dans l’architecture moderne. Pour Mitscherlich, ceux-ci sont, à côté des personnes âgées retraitées, des

loge um den Abbau von Tabus kämpfen, so zum Beispiel in der Frage der Bodenpolitik, dem Spekulationsobjekt ersten Ranges.

Bohnsack und Hillebrecht haben dazu einen konstruktiven Beitrag in ihrer Schrift «Grund und Boden» geliefert. Sie stellen keine neuartige Konzeption vor, sondern versuchen, bereits vorhandene Ansätze fortzuentwickeln. Im einzelnen heisst es da, dass persönliche Freiheit und Förderung privaten Eigentums in unserer Gesellschaftsordnung zusammengehören. Bodenspekulationen aber stehen im krassen Gegensatz zu der im Grundgesetz verankerten Sozialgebundenheit des Eigentums. Der Gesetzgeber ist also legitimiert, Entscheidungen zur Beseitigung der Bodenspekulation zu treffen.

Die Lösung der Bodenfrage steht am Anfang jeder städtebaulichen Arbeit.

Der Wert des Baubodens entsteht durch Leistungen der Allgemeinheit, verstärkt durch Subventionierung teurer Mieten mit Geldern der Allgemeinheit. Durch Steigerung der Bodenpreise entsteht eine endlose Mieten-Preis-Lohn-Spirale. Hohe Mieten fördern ausserdem die Reduzierung der Wohnfläche und damit der Familie.

Als Lösungsweg zur Schaffung preiswerter Bauflächen zur rechten Zeit am rechten Ort werden eine Bodenwertsteuer und Bodenvorratsstellen vorgeschlagen.

Die Soziologie hat also das Recht, uns aufzufordern, für geeignete Umweltbedingungen zu sorgen, «. . . dass die Stadt, an der unsere Generation baut, eine gedeihliche Umwelt werde, indem sie jene Ausgewogenheiten aufweise, welche den Bedürfnissen des heutigen Menschen entsprechen, und dass sie sogleich offen bleibe für Verhandlungen». (H. P.

Bahrdt.) Ist nun eine sinnvolle Kooperation zwischen Architekten und Soziologen oder Sozialpsychologen überhaupt möglich?

Wir glauben, dass sie an einem Einzelobjekt durchaus experimentiert werden sollte. Vielleicht kann sich daraus eine systematische Verallgemeinerung entwickeln. Ansätze hierzu finden sich in dem Bauvorhaben Heidelberg-Emmertsgrund, wo der Versuch gemacht wird, zwischen der Planungstätigkeit des Architekten und dem Wissen des Psychologen von der Beeinflussbarkeit der Sozialstrukturen eine direkte Beziehung herzustellen - direkter, als es bisher der Fall war.

of every urban task. The efforts of the community give building sites their value and the same community subsidizes high rents. The increase in the price of land is the root cause of the vicious circle of rents, prices and salaries. High rents lead to a reduction in habitable area and consequently in the family unit. A tax on land value and a land reserve would solve the problem with the result that building sites would be cheaper and available when and where required. Sociology is therefore right to encourage us to indulge in adequate environmental conditions ‘so that the city our generation builds will be a profitable world adjusted to the needs of modern man and open to all change’ (H. P. Bahrdt).

Is sensible cooperation really possible between architect and sociologist or socio-psychologist? We think it should be tried on one object in particular and then systematic generalization would perhaps develop. The Heidelberg-Emmertsgrund complex is such an attempt.

A more direct relationship has been attempted between the planning activity of the architect and the psychologist’s knowledge of the power of influence of social structures.

Let us now pass quickly on to the problem of the place of women and children in modern architecture. Mitscherlich sees the latter, together with the retired as ‘forever underprivileged residents’. In the first place women follow their careers as mothers; for them work and home are 3

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«résidents permanents défavorisés». En premier lieu, le groupe des femmes exerçant leur métier de mère. Pour elles, travail et habitat ne sont pas encore différenciés. Elles ne vivent pas le contraste d’un lieu de travail lointain; il n’est pour elles que l’ennui du ménage quotidien.

L’étroitesse de la plupart des logements confère aux relations émotionnelles mère-enfants une tension très accusée.

En outre, le champ d’action connu et familier de l’enfant urbain est en général dégradé par rapport à celui de l’enfant rural qui se développe dans le sein d’une grande famille. Les tensions émotionnelles de l’enfant se concentrent sur la mère qui s’en trouve surchargée. De là résultent les sentiments ambivalents de la mère envers ses enfants. Liée par l’amour filial, la femme est dépendante de l’enfant, ce qu’elle ressent comme une injustice dans le cadre des tendances du monde extérieur. Des processus sociaux tels que consommation, loisirs ébranlent déjà en soi les relations mère-enfant et bien plus encore si la mère fuit la monotonie du ménage quotidien dans le travail industriel salarié. Sur un tout autre

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An dieser Stelle kann man auch ohne wortreiche Überleitung an die Frage nach der Stellung von Frau und Kind in der modernen Architektur anknüpfen.

Für Mitscherlich sind diese nebst den alten Leuten nach ihrer Pensionierung «unterprivilegierte Minoritäten als Dauerbewohner».

Zunächst zur Gruppe der Frauen, die den Beruf der Mutter ausüben. Für diese sind Arbeit und Wohnen noch nicht getrennt.

Sie kennen kein Kontrasterlebnis am getrennten Arbeitsplatz, für sie gibt es nur die Langeweile des alltäglichen Haushalts. Die Enge der meisten Wohnungen bringt eine starke Gefühlsbelastung in der emotionalen Beziehung zwischen Mutter und Kind mit sich. Hinzu kommt, dass für das Stadtkind allgemein der Aktionsraum für Bekanntes und gefühlshaft Vertrautes geschrumpft ist, im Gegensatz zum Landkind, das in einer Grossfamilie aufwuchs. Gefühlsspannungen des Kindes konzentrieren sich auf die Mutter, die damit überfordert wird. Daraus entstehen dann ambivalente Gefühle der Mütter ihren Kindern gegenüber. Die Liebe zum Kind steht im Gegensatz zur Abhängigkeit von ihm, die die Frau im Rahmen des gesellschaftlichen Trends als Ungerechtigkeit empfindet.

Gesellschaftliche Prozesse (Konsumzwang, Freizeit) lockern ohnehin schon die Kind-Mutter-Beziehung; dann nämlich, wenn die Frau aus der Langeweile des häuslichen Alltags in die industrielle Lohnarbeit flieht. Ganz abgesehen davon, dass die Motivationen vieler berufstätiger Frauen von den Zwängen der Statussicherung bestimmt werden. Nicht Vitalsicherung treibt sie zur Arbeit, sondern der Wunsch nach Besitz von prestigevermittelnden Gütern, ln der Rolle von Beruf und Mutter ist aber die Frau überfordert. Dies gilt besonders für die jungen Mütter, denn wenn diese zu lange von ihren Kleinkindern getrennt sind, wird der Schaden, den diese nehmen, irreparabel.

Nach der Phase extremer Abhängigkeit folgt für das Kind eine zweite der Autonomiebestrebung; das Kind braucht den in den meisten Planungen weit unterdimensionierten Eigenraum. Das Fehlen von Spielraum im wahrsten Sinne des Wortes hat die Überangepasstheit des Kindes und die permanente Reizung und Gereiztheit der Erwachsenen zur Folge, also eine ungute Steigerung der ambivalenten Gefühle auf beiden Seiten.

one and the same. They do not have the contrast between home and a distant place of work, their only contrast is the daily boredom of housework. The confined space of most homes gives rise to a marked tension in mother-child emotions.

Furthermore, the familiar field of action of the city child is generally much more limited in comparison with that of the country child who develops in a large family. The child’s emotional tensions concentrate on his mother who is already overburdened. Asa result, the feelings she has for her children conflict. Linked by love, she is dependent on the child but nonetheless feels, in the context of the tendencies of the outside world, that this is an injustice.

The process of society with its bias towards consumption and leisure already shakes the mother-child relationship and the situation is further aggravated if the mother flees the monotony of the household for a paid industrial job. Many women follow a profession to gain a social position. Prestige via possessions rather than vital need cause them to seek work outside the home. The two-sided role of career woman and mother is too great a burden, especially for young mothers whose babies suffer irreparable harm. After the period of complete dependence the child finds an autonomy which is even more limited because the space reserved for him is more often than not much too small. The lack of essential space, in the true sense of the word, means that the child must constantly adapt to irritated and complaining adults.

The emotional conflicts increase.

What can the planning architect learn from these remarks? Firstly, and it is the simplest lesson, he must enlarge the spaces set aside for children and young people. Secondly, women and mothers without a profession must be given the opportunity to cultivate themselves and take part in public life. Women are as

plan, beaucoup de femmes exerçant une profession tiennent à s’assurer une position sociale. Ce ne sont pas des nécessités vitales qui les poussent au travail, mais le besoin de prestige par le biais de l’acquisition de biens. Mais, dans ce double rôle professionnel et maternel, la femme est surchargée. Cela vaut en particulier pour les jeunes mères dont les enfants en bas âge, trop souvent séparés d’elles, présentent des dommages irréparables. Après la phase d’extrême dépendance chez l’enfant survient celle où il conquiert une autonomie qui lui manque d’autant plus que les espaces qui lui sont réservés sont le plus souvent nettement sous-dimensionnés. Le manque d’espace vital, au sens propre du terme, a pour résultat que l’enfant doit constamment s’adapter à des adultes sans cesse irrités et grogneurs, autrement dit un accroissement néfaste et réciproque des sentiments ambivalents. Quelle leçon peut tirer l’architecte planificateur de ces quelques remarques? En premier lieu - et c’est le plus facile - agrandir les locaux destinés aux enfants et aux jeunes. Ensuite donner aux femmes et mères sans activité professionnelle les chances suffisantes de pouvoir se cultiver et de prendre part à la vie publique. Ces femmes qui, tout autant que les hommes et les enfants, sont associées au processus évolutif de la société doivent avoir les mêmes perspectives de développement spirituel. Pour Mitscherlich, ces prétentions se situent dans la perspective de la structure sociale de l’an 2000. Je le cite: «Dans la planification d’une ville ou d’un quartier, il faut prévoir tout spécialement ces équipements culturels à l’intention des mères de famille. Dans ce contexte, il est indifférent que ces événements d’enseignement (cours, séminaires, etc.) se déroulent dans un centre pour adultes ou soient intégrés dans un groupe scolaire élargi.» Le second groupe parmi les minorités défavorisées sont les personnes âgées. De quelle manière la société prend-elle en charge ses membres qui, à l’âge de 65 ans, se

Welche Konsequenzen für die Planungsarbeit des Architekten ergeben sich aus diesen wenigen Bemerkungen? Zum ersten wohl, und das ist das Einfachere; die Vergrösserung der Räumlichkeiten für Kinder und Jugendliche. Das andere ist die Forderung nach ausreichenden Chancen für die Frauen und Mütter, die nicht berufstätig sind, zur Teilnahme am städtischen Leben der Öffentlichkeit und Anregung zu geistiger Weiterentwicklung. Die Frauen, die ebenso wie die Männer und Kinder am Prozess der sich entwickelnden Gesellschaft beteiligt sind, müssen wie diese Lernende in Hinsicht auf geistige Weiterentwicklung sein. Diese Forderungen werden von Mitscherlich im Blick auf die Sozialstruktur des Jahres 2000 erhoben.

Ich zitiere Mitscherlich: «Eine heute zu planende Stadt oder ein Stadtteil muss also in der Vorsorge der Ausbildungseinrichtungen für die Frauen in der Zeit ihrer Mutterrolle ziemlich autonom geplant werden. Dabei ist es gleichgültig, ob diese Fortbildungsmöglichkeiten (Kurse, Lehrgänge usw.) in einem Zentrum für Erwachsenenfortbildung untergebracht werden oder in einer entsprechend gross geplanten Gesamtschule.» Die nächste Gruppe der unterprivilegierten Minoritäten sind die alten Menschen.

Was tut die Gesellschaft mit den Alten, wenn diese, mit 65 Jahren zwangsausgegliedert aus dem Produktionsprozess, ihr zur Last werden? Sie schafft aus ihrem eigenen Überfluss «Wartesäle auf den Tod», die sie Alten- oder Altersheime nennt. Um Schuldgefühl und schlechtes Gewissen zu übertünchen, werden weder Mittel noch Mühe gescheut, architektonisch ansprechende Bauten zu errichten.

Man betreibt Nachsorge statt der viel wichtigeren Vorsorge. Unsere Seminargruppe hat die architektonische Kategorie «Altenheim» in Frage gestellt, und nach eingehender Beschäftigung mit dem Problem der Altenunterbringung haben wir versucht, ein ganz neues Bedürfnis für den alten Menschen zu formulieren.

Der Vorschlag ist ein «Rehabilitationsund Vorsorgezentrum», das aber auch ebensogut eine spezielle geriatrische Abteilung in den allgemeinen Krankenanstalten sein kann. Zusätzlich dazu ist ein Pflegeheim zu planen, wo die «Fälle» gepflegt werden, in denen die Medizin nichts mehr vermag.

Wenn die Anlage selbständig, d. h. unmuch involved in society and its development as men and children and they must have the same prospects for development of personality. The above suggestions are to be seen in the context of society in the year 2000, according to Mitscherlich. I quote: ‘. . . In all town and area planning, attention should be paid to the cultural needs of mothers. It is of no consequence whether such education (courses, seminars) is conducted in a special adult centre or integrated in an enlarged educational group.’ The elderly represent the second underprivileged minority. How is society to deal with its members who, at the age of 65, find themselves brutally cast aside from the process of production? From the wealth of possibilities society has only succeeded in creating ‘waiting rooms for death’, called retirement homes for the elderly. In order to hide its own faults and conscience, every effort is made to build homes which look architecturally acceptable. We are catching up on the past rather than planning for the future.

During our seminar we discussed the problem of ‘retirement homes’ and having extensively studied the reclassing of the elderly, attempted to formulate their needs in a new way. We propose a rehabilitation and welfare centre which can quite easily be the gerontology centre of a general hospital. An intensive care unit must also be planned where incurable cases may be treated. If such a centre is not part of the hospital it must maintain the character of one, if only to give the elderly the feeling that they will be cured and eventually return to the outside world. Besides therapy, old-age welfare should, like rehabilitation, have its own centre, staffed by a psychologist, psychotherapist and a social assistant who would be constantly available to give the elderly information on the problems raised by their age. These institutions should be both known and accessible to the general public. Certainly, the psychological ‘school’ for the elderly presupposes that one understands the deep meaning of life, but many would be relieved of the fear of old age spent in isolation if they fully understood their ‘situation’. The retirement home would no longer be an escape from an unacceptable situation, We have always assumed that the elderly need a doctor or psychologist, but for the vast majority such

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trouvent brutalement éliminés du processus de production? De sa propre surabondance, elle ne sait que créer des «salles d’attente pour la mort» qu’elle intitule maisons de retraite pour personnes âgées. Afin de dissimuler culpabilité et mauvaise conscience, on ne recule devant aucun moyen pour ériger des bâtiments faisant bonne figure architecturale. On fait du rattrapage plutôt que de la prévoyance. Notre séminaire a abordé le problème de ces «maisons de retraite» et, après avoir étudié de manière approfondie le reclassement des gens âgés, a tenté de formuler leurs besoins sous une forme nouvelle. Nous proposons un centre de réhabilitation et de prévoyance qui peut tout aussi bien être le centre de gériatrie de l’hôpital. De plus, il faut prévoir un centre de soins où seront traités les «cas» pour lesquels la médecine ne peut plus rien. Si ce centre est séparé de l’hôpital, il ne doit pas pour autant en perdre le caractère, ne serait-ce que pour donner aux vieux le sentiment que leur admission sera suivie d’une guérison et d’un retour à la vie extérieure. A côté de la thérapie, il nous semble que la prévoyance de vieillesse devrait, comme la réhabilitation, avoir son centre. Celui-ci serait dirigé par un psychologue, un psychothérapeute et une assistante sociale qui seraient en permanence à la disposition des vieux afin de les informer sur les problèmes de leur grand âge. Ces institutions devraient être connues et largement accessibles au public. Certes, cette école psychologique de la vieillesse présuppose que l’on prenne vraiment conscience du sens profond de la vie. Mais il deviendrait possible de libérer maints humains de la crainte de vieillir dans l’isolement si l’on parvenait à leur donner une conception plus juste de leur «situation». La fuite dans une maison de retraite ne serait alors plus pour beaucoup d’entre eux le moyen unique de sortir d’une situation sans issue. Il faut dire que, jusqu’à maintenant, les vieux étaient toujours censés avoir besoin du médecin ou du psychologue. Mais, pour la plus grande part d’entre eux, cette assistance est superflue, si ce n’est très temporairement. La plupart des gens âgés pourraient se passer d’une maison de retraite et tenir un petit intérieur à eux si les logements étaient conçus avec un peu plus de précautions et d’égards. Cela nous amène à notre 6

abhängig von einem Krankenhaus, geplant wird, sollte sie aber dennoch Krankenhauscharakter haben, schon um den alten Menschen das Gefühl zu geben, dass mit der Einlieferung auch eine Genesung und Stärkung verbunden ist mit einer anschliessenden Wiederentlassung ins alte Leben.

Neben die Therapie soll nach unserer Meinung die Altenvorsorge treten, die ebenso wie die Rehabilitation eine eigene Station besitzen muss. Dieser Station sollten ein Psychologe, ein Psychotherapeut und ein Fürsorger vorstehen, die die Aufgabe haben, den Alternden kontinuierlich mit der Problematik seines Alters vertraut zu machen. Diese Institutionen sollten im hohen Masse der Öffentlichkeit bekannt und zugänglich gemacht werden. Natürlich setzt diese psychologische «Altersaufklärung» mit dem Ziel der Lebenssinngebung ein hohes Mass an Bewusstsein voraus. Vielen Menschen könnte hier die Angst vor Alter und Isolation genommen werden, wenn es gelingt, ihnen eine richtigere Einstellung zu ihrer «Situation» zu geben.

Für einen grossen Teil von ihnen wäre dann die Flucht in ein Altersheim nicht mehr der einzige Weg aus einer ausweglosen Situation.

Wohlgemerkt war bislang immer nur von den Alten die Rede, die Hilfe brauchen, sei es die des Arztes oder die des Psychologen. Der grösste Prozentsatz der Alten braucht diese Hilfe jedoch nicht, und wenn, dann nur sehr vorübergehend.

Die meisten alte Leute könnten ausserhalb eines Heimverbandes sehr gut einen eigenen kleinen Haushalt führen, wenn die Wohnungen für sie mit etwas mehr Rücksicht und Umsicht geplant würden.

Es kommt hier der Vorschlag spezieller Altenwohnungen. Ein Arzt, der sich zu dieser Planungsaufgabe äusserte, sagte uns, dass 50 Prozent der sogenannten Pflegefälle sich damit erübrigen würden, wenn allein die sanitären Einrichtungen für den alten, unbeweglichen Menschen richtiger installiert würden.

5 cm höhere WCs zum Beispiel würden vielen noch das Aufstehen ermöglichen.

Diese Alterswohnungen sollten in der Makrostruktur der Stadt verteilt liegen und nicht den Charakter von isolierten Bezirken erhalten. Man könnte sich auch ein Versorgungsnetz vorstellen, das diese Wohnungen mit Speisen versorgt, wobei das die Krankenhausküche sein könnte.

assistance is superfluous or only occasionally called for. The majority of old people do not need a retirement home and could manage a home of their own if dwellings were planned with a little more thought. This brings us to our proposals for flats for the elderly. A doctor, speaking of the problems of planning, has said that 50% of the so-called ‘ill’ would disappear if sanitation were better adapted to the age of the user. For example, if the lavatory was 5 cm higher many more old people would have no difficulty getting up. Private homes for the elderly should be scattered throughout the whole city and not form isolated ghettos. The central kitchen of a hospital could easily organize a meals distribution network. It is not essential that such units form a whole with the family home.

Numerous studies have shown over and over again that this type of family unit is a thing of the past. They can however be so placed as to be near the children and so maintain a sort of large family circle.

Elisabeth Pfeil has noted that there are more three-generation families living close together than one would think: ‘They no longer live under the same roof, but nonetheless in the same area. Such families are linked by a common economy and share the precarious difficulties which arise from their social or economic situation.’ To sum up briefly: we propose homes for the elderly which are adapted to the physical and psychological needs of old age and possibly attached to a distribution network. Rehabilitation centres or gerontological units will be planned for serious or benign invalids, but such centres will maintain a therapeutic character and serve only temporarily as a home. There will be intensive care units for incurable patients. Besides the rehabilitation centres there will also be welfare centres to plan for old age, linked to the overall scheme but functioning independently. Here the psychologist and social assistant will together try to revalue, in the eyes of the elderly, a society which having concentrated on performance alone, has seriously deteriorated. P. A.

proposition d’appartements pour personnes âgées. Un médecin qui s’est prononcé sur ce problème de planification disait que 50 % des prétendus malades disparaîtraient si seulement les équipements sanitaires étaient un peu plus adaptés à l’âge de leurs utilisateurs. Avec des WC plus haut de 5 centimètres par exemple, beaucoup pourraient encore se relever. Ces habitats pour personnes âgées devraient se répartir dans la macrostructure de la ville et ne pas avoir le caractère de ghettos isolés. Il est aisé de se représenter un réseau de distribution qui répartirait les repas dans ces maisons, la cuisine centrale de l’hôpital pouvant très bien faire office de distributeur. Il n’est pas indispensable que ces logements fassent corps avec ceux des enfants. De nombreuses études ont abondamment montré que ce genre de lien familial étroit n’existe plus. Ils peuvent néanmoins être répartis de telle sorte que l’on puisse vivre à proximité de ses enfants.

De cette manière pourrait encore se maintenir une sorte de grand cercle familial. Elisabeth Pfeil signale qu’il existe plus de familles où trois générations cohabitent qu'on ne le pense: «On ne désire certes plus vivre sous le même toit, mais on veut cependant habiter à proximité. Ces cercles familiaux économiquement liés sont susceptibles de s’entraider efficacement et de mieux se partager les difficultés en cas de situations sociales ou économiques précaires.» Résumons-nous brièvement: nous proposons des logements pour personnes âgées qui seront adaptés à la nature physique et psychologique du grand âge et qui pourront éventuellement être rattachés à un réseau de distribution. Pour les malades graves ou bénins, les centres de réhabilitation ou des départements de gériatrie seront prévus qui doivent conserver un caractère thérapeutique et ne peuvent servir de foyer que temporairement. Pour les cas où la médecine ne peut plus rien, des centres de soins spécialisés traiteront les malades intensivement. A côté du centre de réhabilitation, un deuxième rôle est dévolu au centre de prévoyance de vieillesse associé au complexe, mais qui fonctionne indépendamment. Là, le psychologue et l’assistante sociale, main dans la main, doivent réussir à revaloriser, aux yeux de l’homme vieillissant, notre société, gravement dégradée, en n’étant plus que celle de la performance. P. A.

Diese Wohnungen sind nicht notwendigerweise mit den Wohnungen der Kinder zu koppeln; viele Untersuchungen haben ja deutlich genug gezeigt, dass der enge Familienverband nicht mehr besteht.

Sie können aber so verteilt werden, dass man nahe bei seinen Kindern leben kann.

Dann würde sich vielleicht noch so etwas wie die Grossfamilie erhalten können.

Elisabeth Pfeil weist darauf hin, dass es weit mehr Dreifamilienhaushalte gibt, als angenommen wird: «Man will zwar nicht unter einem Dach leben, man will aber in der Nähe wohnen. Wirtschaftlich kooperierte Familienverbände stellen einen festen Verband gegenseitiger Aushilfe dar und können in ökonomisch oder gesellschaftlich angespannten Situationen oder Lebensphasen zu einem inneren Lastenausgleich werden.» Noch einmal kurz zusammengefasst, werden also Altenwohnungen propagiert, die der physischen und psychischen Situation des Alten gerecht werden und die eventuell auch an ein Versorgungsnetz angeschlossen werden können.

Für Akutkranke oder Schwache sind Rehabilitationszentren oder geriatrische Abteilungen vorgesehen, die den therapeutischen Charakter betonen und so höchstens zu Heimen auf Zeit werden.

Für jene Fälle, in denen die Medizin nichts mehr vermag, sind hier zusätzlich Pflegeheime angegliedert, in denen die Kranken intensiv gepflegt werden.

Eine zweite Aufgabe erwächst dem Rehabilitationszentrum aus der Altenvorsorge, die als selbständige Abteilung dem Komplex angegliedert ist. Hier sollte es den Psychologen und Fürsorgern gelingen, den alten Menschen, nach Pensionierung und - damit Hand in Hand gehend - der krassen Entwertung durch die Leistungsgesellschaft, eben dieser Gesellschaft wieder wert zu machen.

Peti (4JL

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Wilfried Beck-Erlang

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L’architecture de ces cinquante dernières années apparaît comme un démêlé entre des influences formelles, fonctionnelles, techniques et apparemment économiques, ne touchant généralement pas les exigences pressantes économiques et sociales.

L’architecte était un auxiliaire dans la réalisation. L’architecte, en tant que citoyen compétent, devrait prendre part activement, dès le début, à chaque étude de planification.

Das Bauwesen der letzten fünfzig Jahre zeigt sich als eine Auseinandersetzung zwischen formalen, funktionellen, technischen und vordergründig wirtschaftlichen Einflüssen, meist ohne Bezug auf dringende gesellschaftliche, ökonomische oder soziale Erfordernisse. Der Architekt war Erfüllungsgehilfe. Der Architekt als fachkundiger Bürger sollte sich im Frühstadium jeder Planung aktiv betätigen.

The architecture of the last fifty years seems to have been a quarrel between the formal, functional, technical and apparently economic influences and appears, in general, to have paid no heed to the pressing economical and social needs.

The architect was an agent in this situation. The architect, in his role as competent citizen, should, from the beginning, take part actively in each planning study.

3 Voir 2.

3 Siehe 2.

3 See No. 2

4 L’architecture sera toujours la solution convaincante d’un problème de construction. La technique fait partie de la réalisation.

4 Architektur wird immer die überzeugende Lösung einer Bauaufgabe sein. Technik befasst sich mit der Realisierung.

4 Architecture will always be the convincing solution of a building problem. The technique is part of the realization.

5 Entre autres, toutes les possibilités techniques devraient être épuisées pour la résolution d’un problème de construction.

L’ingénieur est le spécialiste, selon les cas, pour la réduction des problèmes techniques. C’est à l’architecte qu’échoit la coordination des nombreuses démarches nécessaires pour arriver à une solution.

5 Unter anderem sollten alle technischen Möglichkeiten zur Lösung einer Bauaufgabe ausgeschöpft werden. Der Ingenieur ist der jeweilige Sonderfachmann zur Bewältigung technischer Probleme.

Dem Architekten fällt die Koordinierung der vielen notwendigen Schritte bis zur Lösung zu.

5 In addition, all the technical possibilities must be exhausted in the resolution of a building problem. The engineer is the specialist, who, according to the case, solves the technical problems. It is the lot of the architect to arrange the coordination of the different steps necessary to reach a solution.

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L’architecture nouvelle se préoccupe de meilleures conditions d’habitation, d’une plus haute qualité. Vu l’augmentation des loisirs, la famille revendique une plus grande valeur utilitaire du logement.

L’habitation devient le refuge, le bastion de l’individu contre la masse envahissante.

Les organisations de culture et loisirs reçoivent toujours plus de revendications.

Neuere Architektur befasst sich mit besseren Wohnbedingungen, der Steigerung von Wohnqualität. Die Familie wird bei zunehmender Freizeit an den Gebrauchswert der Wohnung höhere Ansprüche stellen. Wohnung wird Refugium, Bollwerk des Individuums gegen drohende Vermassung. Wachsende Ansprüche werden an Bildungs- und Freizeiteinrichtungen gestellt werden.

The new architecture is concerned with producing the best living conditions, with an even higher standard. In view of the increase of leisure, the family claims a greater utilitarian use of dwellings. The living quarters become the refuge, the fortress of the individual against the invading hordes. The organizations for culture and leisure receive more and more claims.

7 La revendication au talent, à la coordination dans la planification et la réalisation des nouveaux problèmes de construction augmentera.

7 Der Anspruch an die Begabung, die Koordinierung in Planung und Durchführung neuer Bauaufgaben wird sehr hoch sein.

7 The claim for talent, for the co-ordination in the planning and solving of new problems in building will increase.

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C’est pourquoi 1’«architecture moderne» ne s’est pas, ou qu’en partie, imposée, car celle-ci a rarement atteint le nerf dans la résolution de situations problématiques en suspens.

«Moderne Architektur» hat sich deshalb nicht oder nur teilweise durchgesetzt, da diese selten den Nerv in der Lösung schwebender Problemstellungen getroffen hat.

This is why ‘modern architecture’ has not, or only partly, imposed itself, because it has rarely got to the bottom of the affair when solving the problematical situations in suspense.

9 De nouvelles théories d’urbanisme sont à peine formulées, donc encore moins réalisées.

9 Neue städtebauliche Theorien sind kaum formuliert, geschweige denn realisiert worden.

9 New theories of town planning have scarcely been formulated, still less realized.

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